Vous n’avez rien compris. L’acception du « blanc » pour les indigènes de la république est celle de « l’homme blanc » génocidaire telle qu’elle se comprend notamment pour toutes les ignominies commises par les colons des amériques, ayant conduites à la disparitions des indigènes de tout un continent. Quand au moins on a compris ça, les discours indigénistes prennent un tout autre sens et interpellent chacune et chacun d’entre nous : nous reconnaissons-nous ou non dans le camps de cet « l’homme blanc » ? Tout autre point si discutable puisse-t-il être des thèses de ce mouvement reste tributaire d’une compréhension de ce seul principe fondateur.
Voilà pour les idées « terribles », qui ne ont que répondre au cynisme colonial aussi radical qu’il reste meurtrier au quotidien dans nombre de régions de la planète...
Grand merci pour l’ouverture de ce débat, qui n’est autre, une fois de plus que celui de la « rentabilité » de la gestion bétaillère des besoins humains essentiels : ici la mobilité.
Depuis des lustres le transport public est développé suivant le stupide modèle industriel quantitatif. Plus de besoins = plus de matériels, réduire les coûts = tailler franchement dans la masse salariale. Le résultat c’est qu’en lieu et place de multiplier et de moduler les convois en fréquence, ce qui véritablement améliorerait le service et découragerait le recours à l’automobile, on déploie des équipements inadaptés en réduisant toujours le nombre de conducteurs.
Ce qui arrive à ce chauffeur de bus est le résultat de cette politique. Si par exemple deux bus se suivant au lieu d’un seul « machin » à angles mort avaient assuré le service au moment de l’accident, et bien le stress de la victime aurait été moindre de le « rater » : ces bus géant permettent de réduire les fréquences de passage : du coup les rater est beaucoup plus pénalisant pour chaque usager.
"Bilan : les enfants sont curieux, ils apprennent en
permanence et pourtant l’école réussit l’exploit de les éteindre comme
des bougies. (Cette problématique n’est pas reconnue, n’a jamais été reconnue)."
Il semblerait que les admirations de cette personne aillent respectivement d’Israël aux « allemands », et aux « japonais » et qu’il ne tienne guère les musulmans en sympathie...ce qui n’est pas vraiment surprenant...mdr
D’après le New-York times l’ambassadeur des USA à Benghazy n’aurait pas été lynché par la foule comme l’imaginaire populaire se le représenterait assez naturellement (après ce qui est arrivé à Khadafi) mais il aurait été asphyxié au monoxyde carbone par les fumées d’incendie dans une pièce sécurisée où les employés de l’ambassade l’auraient confiné pendant l’attaque. Ceci correspond aux protocoles ordinaires dans ces cas là.
Donc quant au décès de ce dernier c’est plutôt au concepteur et aux entrepreneurs de la construction du « compound » attaqué qu’il conviendrait de s’en prendre plutôt qu’aux enragés salafistes de l’extérieur...mais bon, la presse française étant ce qu’elle est il n’est évidemment pas assuré qu’elle relaie cette information...