Bonjour, Je comprends votre interrogation. Les caisses du Crédit Mutuel de Bretagne (c’est le nom affiché lorsque vous entrer dans une caisse de Crédit Mutuel en Bretagne) sont des mutuelles. Ils appartiennent aux sociétaires et ont un agrément. Elles sont affiliées à la Fédération du Crédit Mutuel qui elle-même est affiliée à la Confédération, autant que je me souvienne. C’est pourquoi (Groupe) Arkéa, différentes structures ont été mise en place (par JPD et RLM ?) pour faire croire que c’est une autre banque et prendre le contrôle du CMB. D’où ma distinction entre CMB et Arkéa. Il me semble qu’une décision en défaveur d’Arkéa a été acté pour ne pas utiliser dans les caisses la dénomination « Arkéa ».
@Eddofr
A l’origine, les banques mutualistes et ou coopératives étaient
essentiellement locale et se sont progressivement fédérées au niveau
régional puis national.
Le problème c’est qu’aujourd’hui, l’organisation est tellement
complexe que les vrais mutuelles (et leurs sociétaires) n’ont plus
vraiment voix au chapitre.
C’est exactement cela. Sauf que prendre le contrôle des caisses leur a posé de sérieux problèmes. Tous les Présidents de caisse ne sont allé dans le sens « d’Arkéa » et continu de faire les AG pour décider pour leur caisse.
Les autres présidents « aux ordres » font des journées portes ouvertes.
@chantecler tout à fait vrai ! Le CMB est mutuelle, le Groupe Arkéa et les filiales malheureusement non. Pourtant l’entité principale est le CMB et les salaires mirobolants et en partiellement illégaux sont gérer par une structure Arkéa.
@eddofr La seule chose que je sois sûr, c’est le crédit agricole et donc ses sociétaires qui sont les bénéficiaires, mais je ne connais pas le profit pour le sociétaire. Pour le Crédit Mutuel Bretagne, les seuls bénéficiaires ... pardon il est seul maintenant, le seul bénéficiaire est Jean-Pierre Denis.
@Marcus Hadock Je rajoute, les 2 « patrons » auraient du, en même temps que poser leurs démissions de rembourser ce « vol », abus de biens sociaux... Dans n’importe quelle entreprise on appelle cela des patrons voyous et si c’était un salarié, on le licencierait pour faute lourde.