@alinea . Quant aux accidents nucléaire, quant on les tait, ils fournissent à la population des cancers à la pelle... Vous ne vous lassez pas d’énoncer des sornettes ? Quelle peut être l’importance d’un accident qu’on réussirait à cacher ? Chaque incident de niveau 1, en gros une panne de machine à café à la centrale atomique, fait les gros titres. Vous avez la moindre notion de la relation dose-cancer ? (la littérature de l’UNSCEAR est en ligne). Vous avez la moindre notion des ordres de grandeur d’irradiation dans une situation de contamination donnée ?
@alinea . M’est avis que si elle a lu des articles de scientifiques (d’Agoravox ?) réfutant le caractère anthropique du réchauffement, l’Angèle qui est docteur en sciences a surtout dû se marrer. Elle a décidé en bonne chrétienne qu’il fallait et recevoir un millions de Syriens et en bonne humaniste postfoucouchimienne arrêter le nucléaire. C’est comme ça, c’est dans l’ADN teuton d’aujourd’hui, et ce n’est pas parce qu’elle ne se soucierait pas du CO² que son électricité dégage à flots. Elle le sait très bien, sait que c’est très mauvais, mais l’atome est pour nos voisins un péché plus gros que le gaz carbonique. C’est comme ça épicétout. . « un pays qui n’a pas été capable de gérer la crise de Saint-Laurent-des-Eaux » Développez un peu, qu’on s’amuse ?
@sylvain . C’est dans les années 70 qu’on a commencé à parler de l’indépendance énergétique nucléaire, mais on pensait surtout : indépendance aux embargos et escalades de prix pétroliers. Le mot d’indépendance n’est pas parfaitement choisi. C’est de balance commerciale qu’il vaudrait mieux parler puisque la France dépense moins d’un milliard par an en minerai d’uranium là où il faudrait à la place des dizaines de milliards de gaz. Mais enfin le mot indépendance reste quand même valable quand on regarde de quels pays viennent et l’uranium et le gaz. Les fournisseurs de gaz sont de nos jours nettement plus en position de force politique que ceux d’uranium.