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Marianne

Marianne

Ex-journaliste

Tableau de bord

  • Premier article le 27/04/2009
  • Modérateur depuis le 10/06/2009
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Derniers commentaires



  • Marianne Marianne 28 juillet 2009 16:46

    « Villepin le meilleur »... pour faire dans le libéralisme new-âge version soft et charitable ?

    Que nenni ! Pas de président ! Ca devrait inciter à la réflexion non ?

    Mais alors quoi ? 

    Un peuple et ses représentants qui débattent, votent et appliquent les lois...
    Pas de superviseur, de patron, d’homme providentiel, de dieu vivant ou de monarque mais des hommes et des femmes qui appliquent à la lettre le mot démo (peuple) cratie (pouvoir).



  • Marianne Marianne 28 juillet 2009 13:37

    Si Sarkozy passait l’arme à gauche, ce serait une excellente occasion pour passer à une 6ème république et se débarrasser définitivement de la fonction présidentielle qui concentre des pouvoirs bien trop étendus dans les mains d’un seul homme !

    Sarko nous montre jusqu’où cette fonction peut ressembler au règne des monarques que la Révolution Française a raccourcis... Un système parlementaire renforcé pour la 6ème République, voilà qui remplacerait avantageusement le nabot et tous les prétendants au trône !



  • Marianne Marianne 28 juillet 2009 13:27

    Eh oui, Bois-Guibert, vous aimeriez bien qu’elle serve la soupe à Sarko pour que les voix des bofs racistes dont vous êtes aillent vers le borgne et sa fifille... Mais Audrey Pulvar qui n’est pas dupe de la connivence de « notre président » et de l’ancien de l’OAS sur la question n’est pas là pour faire campagne pour l’un ou pour l’autre mais pour informer les citoyens et les aider à analyser la teneur de leurs arguments.

    Avec vous comme rédacteur en chef, les choses seraient beaucoup plus claires : journalistes (pardon propagandistes) bien blancs et bien racistes à tous les étages et la francisque tournoyant dans un ciel bleu-blanc-rouge en guise de générique avec un petit refrain bien de chez nous : « Maréchal, nous voilà... ! »



  • Marianne Marianne 27 juillet 2009 08:44

    A mon avis, il y a pas mal de personnes ici qui confondent (volontairement ou pas ?) l’agriculture raisonnée de nos grands-pères et l’agriculture intensive, productiviste des grandes firmes.
     
    Il y a quelques décennies en France, vous pouviez encore aller acheter des fruits et des légumes, le lait, les oeufs chez le petit paysan du coin et que je sache ce n’était pas du bio, ce n’était pas non plus saturé de produits chimiques, ni trois fois plus cher que ce que vous trouviez chez l’épicier !

    Il faut donc bien faire la différence entre l’agriculture productiviste d’un côté : champ de maïs, de tomates, de fraises et autres fruits et légumes à perte de vue, arrosés de produits phytosanitaires à longueur d’années, poussant dans des terres appauvries par ces mêmes produits et donnant des fruits et légumes dont l’apparence est attractive mais sans plus aucune saveur et de moins en moins de qualité nutritive et l’agriculture vivrière, mais qui a surtout l’avantage pour les gros producteurs d’avoir un fort taux de rentabilité... et l’agriculture familiale raisonnée, vivrière (1) de l’autre, qui n’utilisait que des produits naturels - engrais ou insecticides - avant la mode du tout chimique.

    Les deux différences essentielles sont la taille de l’exploitation et le caractère local (ou délocalisé) de la production par rapport au consommateur !

    Le drame c’est que la concentration des productions dans les mains de quelques gros propriétaires terriens a tué les petits paysans ! Aujourd’hui,les jeunes se mettent au bio mais ils se pourraient que dans un futur pas si lointain, ils se fassent à leur tour manger par des plus gros alléchés par les marges que peut générer le bio vendu aux consommateurs bien plus cher que l’agriculture de grand-papa...

    En plus, le bio à 100%, c’est très compliqué pour plusieurs raisons : dissémination des pollens d’OGM, difficulté de se débarrasser de certains nuisibles sans produits chimiques : allez donc débarrasser un champ de pommes de terre des doryphores qui l’ont envahi ! Etc... D’ailleurs les critères de labellisation du bio diffèrent selon les pays, l’Europe acceptant désormais une certaine part d’OGM dans les produits bio !

    Non décidemment, je suis convaincue que l’on doit revenir à des tailles d’exploitations raisonnables proches dub consommateur sur lesquelles il est beaucoup plus facile d’utiliser des méthodes de culture naturelles et, avec parcimonie, des produits chimiques pour les problèmes insolubles. 

    Savez-vous par exemple qu’il est très difficile de produire des pommes sans utiliser de produits chimiques ? J’ai personnellement essayé de me débarrasser des carpocapses (vers de la pomme) avec une méthode bio à base de phéromones deux années de suite mais ça ne marche pas ! Mes belles de Boscop sont toutes en train de tomber 2 mois avant leutr maturité assaillies par le ver !

    Ceci étant, j’utilise chaque fois que je peux des produits naturels tels que le purin d’ortie ou le fumier pour mes petites cultures... Tout est à mon avis question de mesure, de juste milieu et pour ça la taille de l’exploitation et la proximité de la production avec le consommateur est une des clès de la réussite.

    Vive donc la production à taille humaine, vive les petits paysans qui produisent près de chez nous des produits locaux ! La proximité élimine au passage tous les traitements liés au transport et à la conservation des denrées produites à des milliers de kilomètres du consommateur...

    (1) L’agriculture vivrière est une forme d’agriculture qui consiste à cultiver des produits essentiellement destinés à nourrir la population locale. La production n’est pas destinée à l’industrie ni exportée, mais elle est en grande partie consommée par les paysans eux-mêmes et la population locale. L’agriculture vivrière, visant à l’autosuffisance alimentaire des populations, est le plus souvent une forme de polyculture associée à l’élevage.



  • Marianne Marianne 18 juillet 2009 12:19

    On sent que cet actionnaire en a gros sur la patate. Mais pourquoi les trois pontes présents à la tribune ne lui expliquent-ils pas que c’est en vendant de la m... et le plus possible que ses actions lui ont rapporté gros pendant des années ?

    La rémunération des actionnaires n’est-elle pas fonction des profits réalisés
    par les entreprises ? Vous allez me dire oui en principe quoiqu’avec les subprimes elle reposait sur des actifs pourris, alors...

    Quoiqu’il en soit cet actionnaire a l’air de penser que les revenus issus de son portefeuille d’actions Carrefour pourraient à nouveau augmenter si le distributeur parvenait à augmenter ses bénéfices en vendant des produits de meilleure qualité...

    Je crains que cet actionnaire soit un doux rêveur. Ce n’est pas sur un système d’actionnariat que se loge de la clé d’une alimentation saine et de qualité pour tous.
    Si cette video nous fait entendre cet actionnaire et ses problèmes de digestion, combien d’autres actionnaires et bien plus gros ont, loin des caméras, justement « pousser au crime » pour faire augmenter leurs dividendes ?

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