• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Marie

Cet auteur n'a pas encore renseigné sa description

Tableau de bord

Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 0 69 0
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Derniers commentaires



  • Marie 25 juillet 2009 13:51

    En régissant comme cela, vous laisser la dysnatie Bongo se pérenniser.
    Le vote tribalise existe certes. Mais de là à faire croire que cela est significatif, ce n’est pas la réalité.
    Votre avis est tout à fait personnel.
    Une majorité de gabonais voteront pour le leader de l’opposition Pierre MAMBOUNDOU qui a réuni qq leaders sous la coalition ACR, d’autres leaders ont été invités à rejoindre cette coalition mais ont refusé pour des raisons d’ambitions personnelles, alors que leurs chances sont dérisoires.
    Votre anaylse politique n’est pas objective et ne tient pas compte du désir ardent et profond d’une majorité de gabonais qui ne veut pas du fils Bongo à la tête du pays.

    Vous ne voulez pas voter. tant pis pour vous si vous ne prenez pas part au train du changement. Vous faites parti ds lâches qui n’ont aucune conscience politique, des attentistes, qui attendent que les courageux, les braves se sacrifient à votre place.





  • Marie 9 août 2008 12:52

    Qui a entraîné les génocidaires ???



  • Marie 9 août 2008 09:23

    Cet article de Sylvain Rakotorison tend à décrédibiliser le rapport Rwandais qui accuse la France de son implication dans le génocide au Rwanda.

    Pourquoi la misssion d’information parlementaire française publiée en 1998 sur la tragédie rwandaise qui avait ouvert des pistes pour connaître la vérité sur l’implication de la France dans le génocide des Tutisi au Rwanda en 1994 n’a-t-elle pas débouchée sur une commission d’enquête parlementaire qui s’imposait. Cette mission d’information parlementaire de 1998 n’était pas destinée à blanchir la France ? 

    J’invite les internautes à lire Carnet de Route de Colette Braeckman du 23 juin 2007 : "les ambiguïtés de la France au Rwanda". Colette Braeckman, journaliste belge, membre de la rédaction du journal belge francophone Le Soir, chargé de l’actualité africaine et plus particulière de l’Afrique Centrale. Chroniqueuse dans des revues et magazine, dont le monde diplomatique.
    Dans ce carnet de route du 23 juin 2007, Colette Braeckman retrace l’activisme diplomatique et militaire de la France dans cette région de l’Afrique Centrale et la rivalité que la France entretien avec la Belgique pour lui ravir son influence dans la région. Colette Braeckman rapporte quelle a été l’attitude et le degré d’implication de la France aux côtés des génocidaires avant, pendant et après le génocide.

    A lire également le contrepoint à cet article de Sylvain Rakokorison, qui tend à minimiser le rôle de la France dans la tragédie du génocide au Rwanda, voire à la disculper, l’éditorial du Financial Times paru dans Courrier International du 7 août 2008 qui attend une autre attitude de la part de Paris car la thèse qui voudrait que des officiers français aient participé en connaissance de cause aux préparatifs du génocide pourrait en pas résister à un examen approfondi. Mais le Rwanda porte aussi des accusations fondée le souligne le Financial Times car la France a laissé se créer des conditions favorables au génocide en soutenant un régime ami alors qu’il se rendait coupable de crimes de guerres. Paris n’a toujours pas reconnu ses erreurs ni présenté la moindre forme d’excuse au Rwanda, ce qui suscite une profonde rancoeur chez les survivants des massacres.
    cela explique aussi pourquoi Kigali a jugé nécessaire de coucher sur le papier sa propre version des évènements. C’est la période la plus sombre des relations de la France avec ses satellites de l’Afrique Francophone. Le président Nicolas Sarkozy le reconnaît du bout des lèvres, mais il doit en faire davantage. Nombre de grandes figures politiques frnaçaises critiquent ouvertement la Turquie parce qu’elle refuse de se pencher sur le massacre des Arméniens pendant l’effondrement de l’Empire ottoman pour déterminer s’il s’agissait ou non d’un génocide. Argument dont ils se servent pour motiver le refus d’intégrer Ankara dans l’Union Européenne. La France ferait mieux de balayer devant sa porte en se penchant sur la question du génocide rwandais. Financial Times Editorial



  • Marie 6 novembre 2007 20:52

    A la différence des autres sociales démocraties européennes, la France vaniteuse et arrogante affiche haut et fort sa soit disante exception française et nos gouvernants ont la très fâcheuse prétention de faire la leçon à tout le monde. Voulez-vous qu’on vous dise la vérité sans fard, celle que toute la classe politique s’ingénue à vous cacher ? La vérité, c’est que la France est devenue un des pays parmi les moins populaires de la planète. Méditant sur les raisons qui ont valu à la candidature de Paris aux jeux Olympiques de 2008 une mémorable déculottée, Jacques Julliard écrivait avec franchise et clairvoyance dans un de se éditoriaux : « A Moscou, nous avons été lâchés par nos partenaires européens, par nos »amis" arabes et par notre clientèle africaine. A méditer !



  • Marie 6 novembre 2007 18:30

    Daniel ignore tout du dessous des cartes des relations franco-africaines. L’économie française est dépendante du pétrole du Gabon, du Congo, du Tchad, de l’uranium du niger, du manganèse, du cobalt du Gabon etc.. de ses anciennes colonies et la France use de toutes les magouilles pour maintenir au pouvoir des dictateurs servant les intérêts français car elle ne peut pas se permettre que soit remis en cause les accords secrets d’exploitation des ressources minières et pétrolières contractés du temps de l’ ère colonial. Vous devriez lire « les servitudes du pacte colonial » du Professeur Ivoirien Mamadou Koulibaly. Lissuba qui au Congo a voulu remettre en cause ces accords coloniaux a été renversé par la France qui a mis à sa place Denis Sassou Nguesso. Au Gabon, Bongo a été mis au pouvoir par la France et elle le soutient depuis 40 ans aidant au truquage des élections Présidentielles depuis 40 ans. Il y a au Gabon 20000 français. il y en avait près de 8000 en Côte d’ Ivoire avant les évènements. Il y en de plus en plus vivant au Sénégal venus tenter leur chance comme le font les africains dont on ne veut plus sur le sol français. Qui de l’Afrique ou de la France a le plus besoin de l’autre ???

    Quant aux ressortisants français de L’ Arche de Zoé, leur sort ne m’ émeut pas. Ce sont des adultes responsables qui ont commis un acte répréhensible en terre Tchadienne. Qu’ ils soient jugés au Tchad est tout à fait normal.

Voir tous ses commentaires (20 par page)


Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv