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marko

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  • Premier article le 26/03/2014
  • Modérateur depuis le 10/06/2014
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Derniers commentaires



  • marko 9 janvier 2013 10:40

    Un bon article... les choses bougent en profondeur... et un peu de musique pour la route d’une grande poete :)


    Keny Arkana/ Jeunesse du monde : http://www.youtube.com/watch?v=e6-wsiibakA



  • marko 21 décembre 2012 11:02

    « Dans quel monde vivons-nous ? Pourquoi l’homme n’utilise t’il pas son intelligence, ses capacités pour le bien-être de tous ? »


    Au final le choix nous est laisse... il y a potentiellement autant de mondes qu’il y a d’etres humains... certes, il y a des influences, une tendance relative a la robotisation, la negation des dimensions creatives, intuitives et spontanees de l’Etre humain... mais franchement, je ne vais pas attendre que tous les depressifs et les resignes se reveillent pour embrasser la beaute et la joie chaque jour quoi qu’il arrive... On a le choix... c’est pas facile de voir, encore moins de definir ou se placent ces choix a l’interieur de chacun... chacun est en mesure de decouvrir ses propres regles, son propre monde, et d’ainsi changer sa vie... ni dieux, ni maitres, ... mais accepter son ignorance face a l’infinim et la richesse de tout un chacun pour apprendre, echanger... grandir... aimer et savoir dire oui a la vie...



  • marko 21 décembre 2012 10:49

    Pourquoi autant de resignation ? Il est probable que l’esprit de domination et de competition, la peur, continuent a dominer... c’est une eventualite en effet tres credible. Mais il y a toujours eu et il y aura toujours des espaces pour qui veut bien se donner la peine, de les chercher, de les trouver, ou de les inventer... La peur inhibe et est tres mauvaise conseillere... Allez, car un petit poeme vaut mieux qu’un long discours...


    Un pont de plus

    Un pont de plus par delà les mers du néant.
    Chacun, île qui s’ignore avant de vivre les courants.
    Les eaux magnétiques entraînent nos âmes
    Dans les remous volupteux de la trame.
    Un pont de plus vient briser le néant
    De sa rime légère,
    De son mime révélé :
    Le grand mime de la vie,
    Le grand flow de l’univers.
    Un pont de plus lancé à l’invitation des vents.
    Le souffle ambré de l’insouscience
    Déroute les obscures sciences.
    On recherche la vérité dans d’autres dimensions
    Que les bruyantes et fumantes spéculations
    Des docteurs et des spécialistes de l’oppression.
    Derrière les mots le sens dissimulé,
    Derrière les mots le sens oublié,
    Ou presque, il ne tient à rien que le tout change au tout.
    Tous nos rêves assemblés ne font que révéler :
    La vie est du côté de la vie
    Et ceux qui gardent espoir l’ont bien compris.
    OGM, nucléaire, la peur au quotidien
    Manipulée par les vampires du néant :
    Prenez garde à la lumière,
    L’ADN de l’univers est d’une autre force
    Que toutes vos divisions
    De missiles, de drones, et de clones tristes,
    Vouées à l’extinction.
    Nos musiques, nos chansons, et nos Golems
    Sont à vos trousses pour l’éternité.
    On ne ment pas à la vérité.
    L’univers nous aime, mais il n’a pas besoin de nous.
    L’amour résonne dans les profondeurs de la matière
    Et c’est à chacun d’embrasser les mystères.
    Un pont de plus à construire,
    Elancé entre les rives de l’instant.
    Il faut faire confiance à la vie
    Et rester en harmonie avec l’esprit :
    Nous venons certes du néant,
    Mais veillons à ne pas y retourner.

    ML(2010)


  • marko 13 juillet 2012 09:11

    « Le vingtième siècle finissant a été dominé par la connivence de la science et de la technique au service du “Progrès”. Certes, des prouesses considérables ont été réalisées dans divers domaines, mais qu’en est-il du destin des humains et de celui de la planète qui les héberge ?


    Dans cette épopée matérialiste, la violence de l’homme contre l’humain n’a jamais atteint des seuils aussi désastreux, et la Création a subi des détériorations sans précédent. La technologie au service de la destruction nous donne, pour la première fois de notre histoire, le pouvoir de nous éradiquer totalement.


    Ces constats rendent plus que jamais nécessaire et urgente une alternative globale. Mais nous sommes de ceux qui pensent que le XXIe siècle ne pourra ÊTRE sans tenir compte du caractère sacré de la réalité, et sans les comportements et les organisations qui témoignent de cette évidence, car les bons voeux, les incantations, les analyses et les constats cumulés ne suffiront pas.


    La première utopie est à incarner en nous-même. Les outils et les réalisations matérielles ne seront jamais un facteur de changement s’ils ne sont les oeuvres de consciences libérées de ce qui les maintient dans le champ primitif et limité de la peur et de la violence.


    La crise de ce temps n’est pas due aux insuffisances matérielles. La logique, qui nous domine, nous gère et nous digère, est habile à faire diversion en accusant le manque de moyens. La crise est à débusquer en nous-même dans cette sorte de noyau intime qui détermine notre vision, notre relation aux autres et à la nature, les choix que nous faisons et les valeurs que nous servons.


    Incarner l’utopie, c’est avant tout témoigner qu’un être différent est à construire. Un être de conscience et de compassion, un être qui, avec son intelligence, son imagination et ses mains rend hommage à la vie dont il est l’expression la plus élaborée, la plus responsable et la plus subtile".

    Pierre Rabhi
    http://www.terre-du-ciel.fr/telechargements/site_forum_incarner_utopie2012.pdf



  • marko 4 juillet 2012 17:05

    « c` est etrange parce que je vis souvent comme vous le decriviez en premier commentaire, et franchement je ne le souhaiterai pas a un jeune, ou alors au soleil pres de la mer et a l` etranger. »

    Pas forcément, c’est vrai par exemple que je suis heureux de vivre ailleurs qu’en France, mais j’ai encore de nombreux amis en France qui cherchent à vivre et être, plutôt que survivre et avoir...

    « C` etait la vie de beaucoups de gens apres guerre, puis la machine a consommer est arrivee et a tranforme nos braves Marchalliens francais en consommateurs mondialises. C` est attrayant le confort pour des personnes qui sortent de 5 ans de privations. »

    Et il y a aussi du bon dans le confort et la consommation (même si ça m’arrache presque les doigts de l’écrire, tout plein de mes contradiction (!), notamment en raison du contexte, du moment et des dynamiques au sein desquelles on se trouve actuellement !!! ;))

    « Certaines personnes ne peuvent etre que consommateur, ils sont programmes depuis leur naissance et ses personnes ne peuvent meme pas comprendre un traitre mot de ce que vous lui direz. »

    Ca dépend, cette « programmation » existe certes, mais elle n’est pas sans faille (heureusement !)... et si la consommation crée une accoutumance, elle peut aussi créer une overdose... suscitant d’abord un rejet violent, puis un sevrage, avant que l’on puisse se (dé)/(re)-construire autrement (bien entendu, tout cela n’est pas aussi linéaire : rejet, sevrage, déconstruction et création se mêlent, interragissent et s’enrichissent en chacun... :)

    Plutôt que de vouloir dissuader qelqu’un de consommer, il est bien plus constructif de partager d’autres activités, émotions, joies... il n’y que ce qui est gratuit qui n’a pas de prix ! :)

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