@roby,
bonjour, je n’ai vraiment pas apprécié votre attitude d’hier, vous
me conseilliez de retourner à l’école sur un sujet bien particulier
dans mon échange avec logan, je vous ai répondu mais aucune réponde
de votre part , donc je repost ma réponse et je suis dans
l’attente d’une explication quand à votre hostilité.
Si
vous pensez comme Logan que ce sont toujours des dictateurs comme
Poutine ( d’après
ce que prétend logan )qui
déclenchent les guerres, c’est votre droit.
vous
ou Logan puisque vous semblez d’accord avec ce fervent supporter du
nazi zelensky, pouvez-vous me citer les ’’ dictateurs’’ qui
sont supposés avoir déclenché les guerres ces 50 dernières années
comme le prétend Logan .
si
vous ne pouvez pas vous retournerez vous-même à l’école mon
pauvre, et avec le bonnet d’âne en plus.
À
partir du 2 juin du 30 juin 1941, à peine une semaine après que l’armée
rouge a été chassée de Lwow (Lviv) par les troupes nazies le 22 juin
1941, les indépendantistes ukrainiens massacrent entre 4000 et 7000
juifs pendant 3 jours.
Le 25 au 29 juillet 1941 les mêmes nationalistes ukrainiens assassins de niveau 3000 juifs .
À
Kiev Le 29 et 30 septembre plus de 33 771 juifs sont massacrés par les
nazis avec le concours des supplétifs ukrainiens du 201e bataillon
Schutzmannschaft.
Le 201e bataillon Schutzmannschaft était composé de 650 nationalistes ukrainiens ( issus du mouvement OUN(B) de Stepan Bandera .
Un
des principaux chefs du 201e bataillon Schutzmannschaft est Roman
Choukhevytch , qui est honoré au Canada, en tant que héros national
ukrainien .
Héros
qui a contribué au massacre de 33 771 hommes, femmes, vieillards et
enfants juifs qui sont tous exécutés à l’arme à feu, en 36 heures, au
bord d’un ravin à Babi Yar.
En
2016, un grand boulevard de Kiev a été rebaptisé du nom de Bandera. Ce
changement de nom est particulièrement obscène puisque la rue mène à
Babi Yar.
Rendons
à César ce qui lui revient, ou plutôt rendons les nationalistes
Ukrainiens comptables de leurs crimes antisémites tout au long de leur
histoire et notamment pendant la guerre de 39-45 pendant laquelle 1,5
million de Juifs, soit un quart de tous les Juifs assassinés pendant
l’Holocauste, venaient d’Ukraine.
Ces
1 500 000 de juifs ont été les victimes des nazis, certes, mais avec la
complicité active et zélée de l’Armée insurrectionnelle ukrainienne
(UPA), et de l’Organisation paramilitaire des nationalistes ukrainiens
(OUN), dirigée par Stepan Bandera, le collaborateur nazi qui a dirigé
une faction de l’OUN (appelée OUN-B) et qui est une figure majeure
vénérée dans l’Ukraine d’aujourd’hui.