Une excuse néanmoins : je pense être parfaitement courtois, disons que j’ai dis « mauvaise foi » alors que j’aurais dû dire « stéréotypes inconscient » . Et c’est vrai que je ne sais pas quelle est votre intention.
Si cette mesure (que j’estime de simple bon sens) n’avait pas rencontré pareille levée de bouclier de la bienpensance médiatique, elle aurait été appliquée dans la douceur et l a discrétion.
Que la réaction contradictoire des anti-féministes soit intentionnelle (mauvaise foi) ou non (stéréotype inconscent), le résultat est le même : elle est contradictoire, car il n’set pas cohérent de « batailler » avec l’énergie du désespoir un changement administratif que l’on juge à ce point sans intérêt et inessentiel.
Car si, dans le fond, le sujet n’est pas du tout secondaire (ce qui a bien l’air d’être à la lecture des divers commentaires, là ou ailleurs), alors les féminstes ont bien raison de « combattre »…
Je suis intervenu pour pointer les contraditions internes d’un faux-débat, c’était mon but :
- déclarer que le thème est « dérisoire » et dans la même phrase que, non, il n’est pas « futile et sans intérêt ». Alors, il l’est ou il l’es pas, « futile » ?
- Le « combat » qui vous chagrine, je pense que vous aurez remarqué qu’il est dû aux gens qui s’opposent à ce changement « futile et sans intérêt »… Sinon, ce changement aurait fait un entrefilet dans la presse, et le combat n’aurait pas eu lieu.
Contradictoire d’accuser les féministes d’en faire un combat, alors qu’il suffisait de les laisser modifier tranquillement et dans le silence une appellation « sans importance », et qui aurait dû vous faire bouger l’une sans faire bouger l’autre, non ?
C’est la mauvaise foi qui me dérange…
Je suis UN féministe (oui, il y en a) car mes relations avec les femmes égales et reconnues socialement sont une source de richesse dont ne souffre aucunemnt ma virilité.
(ps : « suffragette » est une injure faite aux féministes qui se sont battues pour le droit au « suffrage », c’est à dire au droit de vote, préalable élémentaire de la démocratie républicaine).
Merci de votre réponse et salutations également cordiales
Pour un auteur qui trouve le sujet futile et sans intérêt, c’est étonnant cette hargne !Pour un auteur qui dit apprécier la langue française, pourquoi tant d’njures niveau cours d’école profériiées en un court billet :
« se vautrer, grotesque, bêtise, connerie, gratinée, la Muret, suffragette, abrutie, bécasses hystériques »
Je suis toujours étonné de voir tant de stress et de colère hystérique à combattre une petite chose prétendues sans importance ? où est votre problème ?
Je vous conseille de vous occuper des sujets sérieux que vous appelez de vos voeux plutôt que de perdre votre temps préceux à vous énerver sur un sujet qui devrait vous laisser de marbre…
J’imagine que ma gentielle blague vous a déplu, c’était juste pour montrer qu’être obligé de dire à un employé d’administration si vous êtes mariée ou pas est aussi grossier que si vous me demandez quelle est la longueur de mon sexe…
C’est humiliant et rabaissant, non ?
En tout cas, vos explications « historiques » sont erronées.
Usage ancien : Madame était employé pour les femmes de haute naissance ou haute condition sociale.
Usage plus récent : Madame est employé pour désigner une femme ayant un certain rang professionnel dans la société : madame la directrice, madame l’ambassadrice, madame la ministre…
A à la différence de mademoiselle, employé aussi bien anciennement que récemment pour désigner des situations plus subalternes, petite bourgeoisie, ou profession peu considérée : la demoiselle des postes, demoiselle de compagnie, demoiselle d’honneur…
… et la plus subalterne de toute : ne pas avoir de mari !!
Il y a donc bien une hiérarchie et une infériorité pour la dite « mademoiselle » qui n’est qu’une femme de seconde zone tant qu’elle n’est pas mariée…
Cet ostracisme ne vous dérange pas ? moi, ma compagne ne le supporte pas.