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Marie

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  • Marie 16 novembre 2011 17:29

    Krokodilo, que connaissez-vous de la Scientologie ? Rien à bien regarder. Vous vous accrochez à quelques idées toute faites que des gens malveillants ont concotées pour imprégner les pensées crédules. La Scientologie n’a rien à voir avec vos descriptions hallucinantes. Les Scientologues sont mêlés à la population, et ont une vie de famille comme tout le monde, ceux qui ont étudié la Scientologie en comprennent le caractère de rigueur scientifique et tout en étant Scientologue ils ont une vie très « français moyen », avec des loisirs, une voiture, souvent une maison, etc. Faudrait pas que les rumeurs folles contre la Scientologie vous montent à la tête et vous fassent perdre la raison.



  • Marie 2 septembre 2010 11:29

    Mais savez-vous seulement ce qu’est la Scientologie ? Peut-on vous souhaiter de sortir d’ornières que certains ont tracées pour traîner dans la boue la Scientologie, au point que l’on voudrait récuser à ses membres le droit de s’exprimer comme tout un chacun ? Qui êtes-vous pour accorder légitimité aux uns et pas aux autres ? Faut-il montrer patte blanche et auprès de qui pour être un citoyen actif en France ? Qui est le roi des autorisations à penser ?



  • Marie 1er septembre 2010 12:41

    Pour moi, j’ai vu les patients de l’hôpital de Privas dans l’Ardêche déambuler dans la rue. Ceux-là étaient probablement parmi les malades en meilleure forme. Ils avaient le corps déformé, mou et alourdi, ils marchaient péniblement, ils étaient édentés et avaient de gros problèmes d’élocution. Certains en pleuraient d’avoir perdu à jamais leurs moyens physiques et leur intégrité mentale. Ils étaient conscients de leur décrépitude. A Paris, un collègue de travail sous traitement psy n’a jamais été guéri de quoi que ce soit, et le traitement n’a donc jamais pris fin, sinon par sa mort brutale après une crise cardiaque due aux médicaments. Il y a des gens sous traitement psy depuis 18 ans, et plus, qui ne vont toujours pas mieux. Un jeune-homme me racontait qu’il était aller voir un psy avant un examen, juste pour être aidé dans cette période un peu stressante. Sous médicamentation, il a commencé à entendre des voix, et dix ans après, il était devenu incapable de travailler et avait un statut d’handicapé dépendant de la COTOREP. Il en pleurait ! Mais que dire du cas, malheureusement pas unique, du jeune-homme légèrement dépressif qui rentre, debout, de sa propre initiative, dans un hôpital psy, et qui, trois jours plus tard, est mort ?



  • Marie 1er septembre 2010 12:24

    Tous ceux qui sont lucides sur les pratiques criminelles d’une certaine psychiatrie ne peuvent qû’être soulagés de voir que le grand public prend peu à peu conscience de cela. La bataille n’est pas finie, mais la première étape est nécessairement l’information du public. L’histoire de la psychiatrie montre qu’à chaque fois qu’une méthode dégradante a été dévoilée, celle-ci a mis fin à la pratique, mais seulement pour établir une autre dite « thérapie » aux effets similaires, sinon pires, qui garantissait les profits générés à une industrie et à des professionnels corrompus. Soyons vigilants ! Avec l’argent actuellement accordé à la santé mentale, il serait possible d’aider beaucoup de patients en détresse mentale avec des méthodes saines et sans effets délétères et fatals à la personne, à ses aptitudes ou même à sa vie.



  • Marie 15 juin 2010 16:04

    Le pouvoir que la psychiatrie tente de prendre sur l’ensemble des citoyens sous des prétextes les plus divers m’inquiète beaucoup. Aussi merci à Thomas Roussot pour son article lucide et bien vu.
    Les exemples autour de moi ne sont pas reluisant : un mari dont la femme est sous « traitement psychiatrique » depuis 18 ans, sans améliorations ; un collègue de travail « sous soins psychiatriques » depuis de nombreuses années, jamais guéri, décédé de crise cardiaque à 45 ans à force d’engloutir une médicamentation aux effets radicaux ; un fils un peu dépressif qui va chercher de l’aide en psychiatrie, debout, sac au dos et qui en ressort, mort, quelques jours plus tard ; les malades de l’hôpital psychiatrique de Privas que l’on voit déambuler dans la rue, le corps déformé, ayant perdu leurs dents, avec des difficultés d’élocution. Qui aimerait se retrouver dans cet état créé de toute pièce par les méthodes psychiatriques ?


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