Un adage populaire ancestral chinois nous propose que la somme des qualités soit une constante…
Les qualités de notre ami ne sont qu’une infime partie d’un « tout » et je n’envie pas ce qu’il a parce que je n’ose imaginer ce qui lui manque…
L’adage populaire en nos contrées prétend que l’on a les qualités de ses défauts…
En langage relativiste, cela prend tout son sens, des qualités pour certains étant des défauts pour les autres, dépendamment du repère dans lequel il conviendrait de les définir.
Au final, si on est tous le « c_n » d’un autre, on peut tout aussi bien être son génie…