Il y à plus de chômeurs en France que d’homosexuels et il me semble beaucoup plus important de nous occuper d’eux que d’une minorité dont les préférences sexuelles ne les empêchent pas de manger à leur faim.
Ras le bol d’entendre ces réclamations qui ne tiennent pas debout car contradictoires : les « homos » revendiquent leur différence et font tout pour ressembler aux couples hétérosexuels, à a savoir mariage et enfants.
Je ne comprend pas bien ce besoin de débattre du mariage des homosexuels !
La loi est faite pour les hommes et les femmes, donc deux sexes différents.
Les homosexuels rentrent forcément dans l’un ou l’autre de ces genres (masculin/féminin), leur orientation sexuelles n’y change rien.
Si on commence à légiférer en faveur d’une partie, minime, de la population dont les préférence sexuelle sont hors norme, dans ce cas là pourquoi ne pas donner d’autorisation spécifique aux échangistes, aux sado/maso etc...
Les homosexuels ne représentent ni un 3ème sexe, ni un peuple à part il n’y à donc pas lieu de faire des lois spécifiques.
M. Barratier permettez moi de ne pas être d’accord avec vous.
Le Conseil Régional dès lors qu’il permet un accès anonyme et libre à la contraception de mineurs, sans demander d’autorisation parentale, se substitue de fait à l’autorisation parentale.
Cette liberté accordé ne favorisera en aucun cas le dialogue parents/enfants puisqu’elle « zappe » leur autorisation.
Malheureusement des jeunes filles enceintes il y en a toujours eu et il y en aura encore malgré le « pass ».
Certains sont tellement persuadés que le fait de vouloir un étiquetage est une démarche islamophobe ou antisémite qu’ils ne comprennent pas qu’on puisse simplement demander d’avoir la liberté de choisir ce que l’on achète sans tromperie.
Le respect marche dans les deux sens croyant ou pas croyant.....