Il est extraordinaire de constater, (d’aprés les commentaires) que la psychanalyse souléve encore les passions.
Alors que les môts de la psychanalyse sont devenus d’un usage courant, (dans les médias, entre autres), la pratique de la psychanalyse semble décliner. Cette constatation a déjà été faite.
Les môts de la psychanalyse n’appartiennent pas aux psychanalystes,
pas plus que les môts de la sociologie n’appartiennent aux sociologues.
Ceci étant dit, l’influence de la psychanalyse a beaucoup déclinée,surtout par rapport aux années 70.
La psychanalyse n’a évidemment rien à voir avec une certaine psychologisation des événements ( envoyer des équipes de psychologues sur le terrain , aprés une catastrophe ou un événement quelconque).
Votre article est trés intéressant.
J’ai particulérement apprécié le paragraphe concernant les enfants, et je voudrais apporter le témoignage suivant :
ma belle-fille est morte à la fin de l’année 2006 d’une grave maladie.
Son ex-mari a eu le courage d’emmener leur fils , agé de 8 ans, à l’enterrement de sa maman.
Je peux dire qu’actuellement, c’est un enfant souvent joyeux,nullement déprimé et qui peut parler de sa maman, à la maniére des enfants de cet âge,évidemment.
Il ne s’agit d’aucune façon d’un conseil, mais d’un témoignage.
Bien que n’étant pas du même bord que Jacques Richaud, je suis bien d’accord avec lui au sujet de Michel Onfray.
Je me rappelle d’un article désopilant de notre narcissophilo, dans lequel il disait,(en gros), tout le mal qu’il pensait des différentes composantes du non à la constitution, et combien serait délicieux le rassemblement
de ces différentes composantes. Cet article est paru dans Le Monde, au début de l’année.