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mauvaise-idée

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  • mauvaise-idée 25 février 2018 09:27

    @pipiou2

    Tu amalgames un peu vite sur les finances des étudiants de la capitale ... d’autant qu’elle reste l’un des principaux foyers de formation et d’étude du pays.

    Les loyers sont tellement élevés qu’ils en deviennent prohibitifs...

    Pourtant crois-mois car j’en ai été, beaucoup d’étudiant n’avais pas vraiment les moyens pour y habiter. Par exemple, j’ai dû pendant la première moitié de ma première année, loger en auberge de jeunesse et prendre le train chaque semaine, ne trouvant pas de studio. Et le premier que j’ai trouvé faisait 8 m² (alors que le minimum acceptable est 9 m2) avec toilette partagé sur le palier et à peine de quoi mettre un matelas en travers de la pièce alambiquée. Le tout pour 550 euros hors charges.

    Les étudiants comme moi trouvaient des petits boulots pour s’aider et alléger le budget que devaient dépenser leurs parents. Souvent au détriment de leurs études justement.

    J’espère que ce témoignage te feras changer d’avis. Il n’est jamais bon de se faire une opinion arrêtée, il y a tellement de cas de figure.



  • mauvaise-idée 7 janvier 2018 09:27

    Le réfrigérateur n’est pas indispensable, tout dépend où l’on habite.

    Pa exemple j’ai vécu l’expérience d’une colocation en montagne dans un lieu respecté par la main de l’homme, et nous avons vécu longtemps sans. Ca ne posait aucun problème.

    Un jardin potager/fruitier et un poulailler pour la grande partie de la saison donc que des produits frais et oeuf frais. La saison froide des conserves (tomates haricots, petits fruits etc...) faites par nous, des produits de culture conservés (pommes de terre, potimarrons, oignons, etc...) et des cultures tardives, cucurbitacés, poireaux, salade d’hiver, etc...). Sans oubliés les marchés, maraîchers, fermes, etc..

    Il suffit d’habiter un lieu sain et traditionnel avec toute sa ribambelle de producteurs et les produits achetés se conservent très bien plusieurs jours au placard ou dans un sellier avec une température ambiante toujours fraîche et constante (même les produits laitiers).

    En revanche depuis que je suis retourné habiter une grande ville, c’est plus compliqué, car les produits frais coûtent cher, impossible de les produire soi-même (pas de terre pas de place) et donc on se reporte sur des produits moins cher, ou on achète des ’affaires’ en quantité à certains moment pour stocker. Et pas de sellier, au pire on peut utiliser une cave si l’on en a.

    Mais si on ne m’avait pas filé un réfrigérateur, j’aurai fait sans.

    Le problème est ailleurs. Comme dit un ami il est très facile de s’embourgeoiser et d’augmenter son confort, par contre l’inverse est beaucoup plus difficile à accepter et à assumer.


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