Cherchez-vous réellement le « comment faire pour bien faire ? »
A vous lire, il subsiste une désagréable impression qu’en filigrane, c’est plutôt le « quoi faire pour pas faire ? » qui motive vous propos.
Commencez aussi par considérer les personnes pour ce qu’elles sont d’abord des personnes, puis des élèves dans le cas de figure qui nous préoccupe...
Dites par exemple un élève autiste ou atteint d’autisme, une élève sourde ( y a pas lieu de faire dans le politiquement correct, mais y a obligation de commencer par leur reconnaitre au moins ce statut d’élève au même titre que les autres, ni plus, ni moins.
Qu’auriez-vous fait, si vous même avez eu un enfant autiste dans une fratrie de quatre autres enfants par exemple ?
Son éducation se serait-elle fait au détriment des autres ? vous en seriez-vous vite débarassée, pour vous consacrer aux autres ?
Avant d’aller plus loin ; l’auteure de l’article, peut -elle accepter sincèrement une remise en question de ces conceptions en matière éducative plus généralement qu’en matière de compréhension du trouble autistique ?
Son article, en effet, soulève plusieurs questions de nature pédagogique et même d’ordre ethique