Un des problèmes actuel est justement l’abus de protéïnes qu’elles soient animales ou végétales et malgré certaines allégations officielles, il n’y a aucune différence entr’elles. Ce qui pose un problème d’ordre biologique c’est que l’homme est conçu pour fabriquer ses propres proteïnes à partir de son colon or il utilise des protéïnes usées, celles de la chair animale. De plus il fait cuire une chair qui loin d’être vivante puisque l’animal étant mort la force vitale qui l’habitait diminue extrêmement rapidement. La viande rouge ou de veau à moins d’être mangée crue et l’animal venant d’être juste abattu est dénuée de toute énergie, il me semble que les carcasses restent plusieurs jours afin d’être attendrie. bonne à manger..en clair elle subit depuis l’abattage de l’animal le phénomène de décomposition. Plutôt que carnivores il vaudrait mieux dire charognards (ce n’est pas péjoratif ...) Ce n’est pas le cas avec la verdure et les fruits crus. Les fruits sont une finalité, ils ne sont pas indispensables à la vie de la plante ou de l’arbre.
Foufouille, ce que vous dîtes est en partie exact, chaque espèce a effectivement un régime alimentaire qui lui est spécifique.à l’origine. cette spécificité a fait que les diastases (enzymes) qui sont à l’oeuvre chez un herbivore ne sont pas du tout les mêmes que chez un animal carnivore. Aucune digestion ne peut s’effectuer sans elles. et la façon dont elles procèdent sont différentes vis à vis des végataux ou de la chair (et os également). l’être humain est biologiquement un animal qui est soumis à cette règle. Il ne peut sans dommage pour son organisme solliciter à la fois les enzymes spécifiques aux végétaux et ceux spécifiques à la viande. Le moteur biologique de l’être humain est le sucre, le fructose plus exactement naturel, cru. parce que immédiatement absorbé par l’organisme et disponible avec un minimum de dépense énergétique. Au fil des millénaires et pour des raisons de survie, adaptation aux différents climats et pénurie saisonnière de fruits, l’homme a été amené à devoir calmer sa faim avec ce qu’il trouvait à se mettre sous la dent, pour calmer sa faim ; il y a toutes les chances pour que ces adaptations aient fait de très nombreuses victimes et engendré des troubles aiguës et par suite de nombreuses pathologiques transmissibles. C’est le fait de ces erreurs répétées sur des générations. et qui sont à l’origine de notre dégénérescence actuelle.ainsi que des pathologies morbides chez de nombreux bébés.