• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

MBOCK Elise

MBOCK Elise

Je suis auteur du : "Clonage Institutionnel", ouvrage qui contient des réflexions sur le fonctionnement de notre société en rapport avec la démocratie, avec l’égalité des chances, avec la cohésion sociale et avec les freins à la croissance. Le chapitre générique est "la confiscation des territoires et les nouveaux rentiers" que je définis comme étant l’agent majeur du déséquilibre actuel.
Je suis Docteur en Sciences de l’Information et de la Communication de l’Université Lyon 2 depuis 1995.
 

Tableau de bord

  • Premier article le 18/10/2007
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 3 28 26
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Ses articles classés par : ordre chronologique






Derniers commentaires



  • MBOCK Elise MBOCK Elise 4 novembre 2007 14:10

    Bonjour FGsuperfred

    Contrairement à Forest Ent qui n’a pas lu le texte ou a voulu y voir ce qu’il avait apporté avec lui, vous avez très bien vu que cette formule est une véritable arnaque. Pour comprendre un texte, il faut déjà comprendre son ou ses points de pertinence.

    « on fait 75 heures par semaine pour 1600 euros de paye (320 heures /mois...) vive la france qui enrichit les riches et appauvrit les moins riches , le modèle américain quoi... ». C’est exactement cela l’arnaque. Pour les petits producteurs ici et en Afrique, c’est pareil.

    Savez-vous que Mr. Copé, l’élu cumulard que je ne nomme pas dans le texte percevra 500 euros de l’heure dans le nouveau cabinet d’avocats qui va l’employer ? Cela se passe de commentaires.

    « La principale escroquerie du »travailler plus« est qu’il n’y a pas d’offre d’emploi ». Pourquoi n’y a-il pas de création d’emplois ? Voilà la vraie question ? Pourquoi les emplois existants sont-ils souspayés ? La principale escroquerie du « travailler plus » est que la RICHESSE COLLECTIVEMENT PRODUITE est systématiquement aspirée vers le Haut, vers les classes dirigeantes (au niveau national) et, au niveau international, vers les pays supérieurs, comprendre développés. Votre exemple(FGsuperfred) le prouve très bien.

    Alors Martin Lucas dit « elle commence quand la révolution » ? Maintenant. Elle a déjà commencé. Le problème est qu’on cherche les moyens de la mener. la révolution avec armes blanches ou réelles - façon mai 1968 - n’est plus possible. Il faut donc combattre les forces antidémocratiques et contreproductives avec leurs armes : les médias, la citoyenneté, l’édition... Le hic est que dans ce combat citoyen, ce ne sont pas les forces contreproductives qu’il faut le plus craindre, mais la fébrilité du citoyen transformé en simple consommateur, qui n’ose plus. C’est le fruit d’une domination longue et dure.



  • MBOCK Elise MBOCK Elise 3 novembre 2007 12:38

    à l’auteur. Bonjour.

    Ce que je veux dire ?

    1. Fenzy a formidablement répondu à ma place.

    2. Je complète : « il faut se décaler de l’effet perroquet ».

    3. j’ajoute l’excellent commentaire de « crochemore » - ci dessous - qui figure sous l’article original de l’Express.

    crochemore. "Un juge en colère et les citoyens ont-ils le droit d’être en colère ? jeudi 19 juillet | 18:32 Bonjour, En France , le problème est plus vaste que celui de l’immigration. Les immigrés, bien souvent, sont les premières victimes dans leur pays d’origine et quelque part ils servent de boucs émissaires chez nous pour masquer un malaise plus grand et plus profond que personne n’ose prendre en charge (en quelque sorte, quand on occupe le citoyen avec un problème, le citoyen ne pense plus aux autres problèmes). Les immigrés étant l’arbre qui cache la forêt du malaise profond, du gap énorme entre ceux qui pensent bien penser et parfois se disent même éclairés (comme au Moyen Age tandis qu’on est à l’ère de l’électricité et d’Internet), ceux qui peuvent même se permettre tout et n’importe quoi en toute impunité. Oui le malaise est profond avec le citoyen d’en bas qui ose s’interroger et ne pas se taire. Le problème est la perte des valeurs essentielles ou les citoyens n’ont même plus à s’assumer les citoyens (et pas seulement les immigrés) ne pensent qu’à leur droits, même en abusent de leurs droits, même s’en auto-fabriquent des droits (abus de pouvoirs) et ne pensent jamais à, leur devoir de citoyen ... et cela ne concerne pas uniquement les immigrés, cela concerne aussi et bel et bien les français que certains disent de « souche ». Cordialement".

    Conclusion : il s’agit d’un ordre (on peut le qualifier comme on veut) national et international. J’ai appelé cela : « le clonage institutionnel ». Les discours aussi sont clonés. La juge en colère ici clone les politiques. Les Administrations fonctionnent dans un mimétisme confondant. Il faut sortir de ce mimétisme, car tout mimétisme est aveuglant.

    Tout ceci est développé dans mon ouvrage : Le clonage institutionnel, livre, 325 pages, avril 2007. Car, pour combattre le clonage, il faudra en passer par l’édition et les médias. En fait, il faudrait écrire un autre article pour vous répondre dans le détail. J’ai eu besoin de 325 pages, pour cela.

    Vous êtes dans l’indignation. C’est le premier pas...

    Bon WE



  • MBOCK Elise MBOCK Elise 2 novembre 2007 11:26

    Votre article est à l’image de votre âge. Le commentaire de texte (de l’article que vous commentez), c’est bien. Mais, il vous enferme dans une logique de simple bon sens. La vie des hommes et des femmes, celle de la cité en général et ses règles « politiques » auxquelles s’ajoutent les déséquilibres de l’ordre mondial n’obéissent malheureusement pas au simple « bon sens », voir à la logique.



  • MBOCK Elise MBOCK Elise 29 octobre 2007 12:37

    On demandera un plus grand compte à celui à qui on aura le plus donné.

    Nos hommes et femmes politiques veulent être traités et jugés comme le citoyen lambda. Ce qui est incroyable ! Nos hommes politiques reçoivent plus de tout que ce citoyen lambda. Et ce n’est pas du tout parce qu’ils auraient fait plus d’efforts pour passer leurs diplômes ou travaillé beaucoup plus que tout le monde pour faire leur carrière. Nous travaillons tous plus sans d’ailleurs gagner plus pour autant, quand on gagne quelque chose d’ailleurs.

    Ayant reçu plus, avec comme principal mérite l’appartenance à des circuits bien balisés, ils se doivent d’être exemplaires. Ce plus, c’est par exemple, la valeur symbolique d’un ministre qui fait qu’un ministre n’est pas un homme d’affaires fut-il Arnaud Lagardère. Un homme politique n’est pas un boursicoteur, il a le pouvoir symbolique avec lui : ce qui nous unit et nous transcende. L’investissement de ce pouvoir symbolique implique de rendre un plus grand compte. Cet article est donc le bien venu. Copier-coller ou non.

    Quand tout va bien, les hommes politiques récupèrent la mise, les honneurs, les viatiques et autres révérences. Quand tout va mal, c’est ma vie privée (cf la tribune d’Okam AB du jour) ou encore, je suis un citoyen lambda.

    D’ailleurs, quand j’y pense, je me dis que si des journalistes, parfaitement renseignés sur ce qui les attend en cas de diffamation, ont choisi de publier un livre au titre aussi clair : « la tricheuse », c’est que l’enquête a eu lieu.

    Si, en lieu et place, l’intéressée répond par un livre et non par une assignation en Justice directe, il y a un chaînon manquant.

    Reste alors les circonstances atténuantes. Qui n’enlèvent rien à la faute. Mais qui peuvent la rendre compréhensible, c’est-à-dire éviter le Tribunal et le reste. Ces circonstances atténuantes doivent être valables pour tous. Sachant quand même qu’on demandera un plus grand compte à celui à qui on aura le plus donné. En France, ceux qui reçoivent indéniablement plus, ce sont les hommes politiques en raison du primat du Politique en tout. Serions-nous le dernier pays soviétique ?



  • MBOCK Elise MBOCK Elise 29 octobre 2007 10:56

    @ l’enfoiré Je reprends vos propos entre guillemets, puisque je réagis avec un décalage.

    « La compétence et la motivation seules peuvent être parfaitement à la base de grands projets réussis. Pas besoin de diplôme pour arriver à ses fins. Les diplômes ne sont pas tout. Ils ne donnent qu’un indice et rien de plus. Aujourd’hui, ce n’est d’ailleurs plus la technicité qui impressionne les chefs d’entreprise. Son management, sa manière de pousser une équipe dans le bon sens sont plus appréciés. La formation c’est en continu pour toute une vie active ».

    Pas besoin de diplômes pour arriver à ses fins ? Invérifiable en France, pays du diplôme et des concours sur diplômes. Idem pour le privé. C’est un idéal.

    « La formation c’est en continu pour toute une vie active ». Quelle formation ? Les formations cul-de-sac ANPE ou petit bras. Si ce « slogan politique » était vrai, il y aurait plus d’osmose entre les demandes et les offres d’emplois.

    « Le problème peut se présenter quand la position acquise n’a qu’une base dont l’ »utilisateur« s’est vanté pour progresser et qu’il savait être fausse au départ. Là, on parle de chateau de cartes ».

    Là, vous parlez de « circonstances atténuantes » et des chemins de traverse. L’interprétation devient alors élastique, comme ces régularisations de titres de séjour dans les Préfectures, selon les agents, selon le Préfet, ou alors comme vous dites « quand la position acquise n’a qu’une base dont l’ »utilisateur« s’est vanté pour progresser et qu’il savait être fausse au départ ». Traduire, quand le demandeur de titre a dû inventer une vie antérieure pour obtenir un titre alors qu’il la savait être fausse au départ. Hum...

Voir tous ses commentaires (20 par page)


Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité