Je ne sais pas qui glisse au milieu de cet aréopage de compliments dont l’unanimité fait penser à une soirée de présidentielle au Kazakhstan que, en manque d’arguments, on se doit de décribiliser l’adversaire, mais vous avez retenu la leçon. « Presse de m... », « à la solde de Sarkozy », « Barbier pote de Bruni-Sarkozy », « décadents », « pédophiles », « torchon », « nauséabond »... les commentaires sont à la hauteur de l’article. Pas un, et surtout pas l’auteur des lignes originelles, n’a pris le temps de vérifier que ce que nous avons écrit est vrai : c’est tellement plus facile de nous faire passer pour des pédophiles dégénérés, aux ordres de l’Elysée, prêt à tout pour complaire au pouvoir. Des méthodes d’extrême droite, on y revient.