Je recommande à tous le livre de Yves PACCALET " L’humanité disparaîtra,
bon débarras !" édition Arthaud 2006. Ce collaborateur de Cousteau sait
de quoi il parle.
Continuons à nous sur-multiplier et à faire reculer la bio-diversité et
la vie. Continuons à écouter ces deux fléaux que sont les politiques et,
par dessus tout, les religieux.
Il y a quelques années j’ai entendu, sur une radio, une journaliste poser la question suivante à un scientifique :
- combien la terre peut-elle supporter d’humains ?
Réponse.
- 20 milliards mais ces 20 milliards devront accepter le niveau de vie
du Bangladesh, ou bien 700 millions et ces 700 millions aurons le niveau
de vie du parisien.
Il y a une loi dans la nature ( écrite nul part, certes, mais réelle )
qui dit : quand prolifère un prédateur, c’est toujours au dépend de ses
proies qui disparaissent : et quand les proies ont disparu vient le tour
du prédateur.
Si nous ne changeons pas très rapidement de mentalité, l’humanité
disparaîtra : tant mieux, la diversité de la vie ne s’en portera que
mieux.
Il y a quelques années, en écoutant la radio je suis tombé par hasard sur une radio au moment où la journaliste posait la question suivante à un scientifique dont je n’ai pas entendu le nom : - combien la terre peut-elle supporter d’humains ? Réponse du scientifique : - 20 milliards mais ces 20 milliards devront accepter le niveau de vie du Bangladesh, ou alors 700 millions et ces 700 millions auront le niveau de vie du Parisiens.
En ce qui me concerne, j’avais compris bien avant cette émission que l’humanité fonce droit dans le mur.
Continuons à écouter les politiques qui préconisent de se sur-multiplier pour faire du fric, et surtout les curaillons ( toutes religions confondues ) qui n’ont d’autres but que d’avoir le pouvoir absolu sur ceux qui croient en leur dieu. Le pouvoir des religieux est bien plus fort que celui des politiques, car il font croire, sans preuve, à la vie éternelle.
Procréons, procréons sans réfléchir. L’homo-sapiens ( homme sage : laissez moi rire ) est la seul espèce qui en toute connaissance de cause est capable de scier la branche sur laquelle il est installé et en plus, au bout de cette branche, il y a son nid.
Chaque jour, chaque seconde qui passe je me félicite de ne pas avoir écouté ces deux grands fléaux que sont les politicards et les curaillons.
Quoiqu’en pensent certains intellos l’humanité n’échappera pas à une loi de la nature : - partout où un prédateur prolifère, c’est au dépend de ces proies. Elles finissent par disparaître et le prédateur avec.
Hors l’humanité n’est pas que prédatrice, elle est surtout massacreuse.