Que de verbiage éhonté sur une question foncièrement identitaire. Je suis Québécois francophone parce que je suis né au Québec, tout comme mes parents et que tout comme mes parents je parle français. Il n’ y a pas de sentiment d’appartenance à une langue, si je vais au mexique je parle Espagnol pour me faire comprendre,mais ce n’est pas parce que je mange des tortillas au Québec que je suis mexicain. En fait, je pourrai déblatérer comme ça pendant des heures en me demandant qui je suis et je serais toujours francophone...
Est-ce que quelqu’un dans cette foire d’empoigne est bien sûr qu’il y a autant de Québécois qui veulent retrouver la nationalité française ? Ou n’est-ce pas là un prétexte pur alimenter une cause d’avocat désabusé d’une vie trop abusée ?
Personnellement je connais 7,456,999 Francophones qui ont d’autres chats à fouetter !
Désolé de te décevoir, il y a belle lurette que le « vrai » révolutionnaire a troqué sa AK-47 contre un veston-cravate, tout comme les écologistes, car le seul moyen de vraiment agir sur les choses, c’est de l’intérieur...
Ce n’est pas tellement le prix à la pompe comme le pourcentage d’agmentation depuis dix ans qui atteint presque les 100%. Le Québec est grand et le réseau ferroviare ainsi que les transports en commun n’ont aucune commune mesure avec ceux de l’Europe. Les gens qui ont de faibles revenus et qui doivent oblifgatoirement utiliser une voiture pour aller travailler, sont grandement pénalisés. Au niveau social, les vols d’essence à la pompe sont fréquents et les vols directement dans les réservoirs des station-service commencent à survenir. Le marché noir est à nos portes.