Si LO Frossard a bien été un cacique de la SFIO, l’un des leaders du courant favorable à l’adhésion à la 3ème Internationale au Congrès de Tours, puis démissionnaire, puis ministre, puis l’un de ceux ayant voté les pleins pouvoirs à Pétain, etc., il est mort en 1946. C’est son fils, André Frossard, qui fit une bonne partie de sa carrière comme journaliste au Figaro et fut élu à l’Académie Française. Après une conversion au catholicisme digne de celle de Paul Claudel, il devint un prosélyte zélé du catholicisme des chaisières et des beaux quartiers.