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Michel Portal

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Tableau de bord

  • Premier article le 28/06/2010
  • Modérateur depuis le 23/08/2010
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Derniers commentaires



  • Michel Portal 31 août 2010 11:27

    Bonjour à Toutes et à Tous,


    Personnellement je ne crois pas au complot. Je crois au caractère contagieux des comportements. Si chacun est incorrect, leur somme devient dramatique.
    L’incompétence consiste à ne pas mesurer exactement les conséquences de ses actes. C’est un cas malheureusement ordinaire à notre espèce.
    Le drame actuels des politiques-banquiers est qu’ils sont abandonnés à eux-mêmes sans contrôles extérieurs sérieux au nom d’une liberté mal comprise, idolâtrée.
    Les élus politiques ont déjà fort à faire par ailleurs et ne sont pas insensibles à l’argent.
    Il vaudrait mieux promouvoir un pouvoir monétaire citoyen, indépendant d’élections, autonome par rapport aux gouvernants et aux banquiers. 
    Je crois que c’est possible en tirant au sort de multiples jurés formant des conseils autour des toutes les institutions financières locales, nationales, mondiales 
    (Ce serait une extrapolation des jurys d’assises avec des délégués des travailleurs de la banque et du fisc à la place des juges professionnels).
    Des banques coopératives, mutualistes, des gouvernements démocrates pourraient se lancer dans cette ouverture monétaire et économique démocratique, sans attendre des feux verts globaux.


  • Michel Portal 31 août 2010 11:04

     Bonjour à Toutes et à Tous,


     L’idée d’une monnaie fondante (Gesell) a été appliquée en France lors de l’opération de monnaie complémentaire menée à Lignières en Berry de 1956 à 1958 et stoppée par François Miterrand alors garde des sceaux d’un gouvernement Guy Mollet. 

    La fonte (mensuelle par exemple) fait effectivement circuler la monnaie mais comment économiser en vue d’un projet important, longue durée ?

    La justice serait dans doute que la monnaie ni ne perde de la valeur, ni n’en gagne avec le temps... Pourquoi verser des intérêts à ceux qui ont déjà la chance de pouvoir épargner ?

    Michel Portal




  • Michel Portal 21 août 2010 12:35

    Bonjour Jean Pierre Llabrés,


    Je n’ai rien contre une allocation universelle de sécurité.
    Le problème du capitalisme ne réside pas exclusivement dans le système monétaire et financier c’est sûr, mais il y trouve sa source. 

    Je note deux activités condamnables parce qu’en plus de confisquer, elles donnent un mauvais exemple :
    1- La malhonnêteté induite par la captation privée de la monnaie publique par quelques banques très privilégiées. Prêts d’argent public à moins de 1% ! Vraiment pas cher.
    2- Puis dans la foulée, interdiction aux États d’emprunter à leur propre banque centrale nationale et obligation donc pour les États (depuis 1973 en France, confirmée par Maastricht 104 puis Lisbonne 123) de contracter des dettes auprès des banques du marché (à 3% minimum pour l’Allemagne... un peu plus pour la France et beaucoup plus pour la Grèce). 
    Ce différentiel, ici minimal de 1 à 3, explique l’enrichissement sans travail de la tête du système bancaire (en gros les propriétaires de la FED en 1913). C’est un vol objectif de la création monétaire par des « rois » cachés de ce qui revient au peuple après la fin de la monarchie.
    Ce détournement oblige ensuite les voleurs à corrompre sous eux pour faire taire les nombreux concurrents, bancaires surtout, qui vont se charger de pressurer le travail dans son ensemble (industriels et travailleurs) pour gagner ce qui leur permet d’entrer un à un dans le haut club de la FED 1913 par tous les moyens (guerre incluse... l’argent nerf de la guerre n’est-ce pas).

    Je suis bien d’accord que le pouvoir des peuples sur leurs monnaies ne doit pas être confondu avec celui des gouvernants des États sur la monnaie. D’où à mon sens, la nécessité d’instituer un pouvoir citoyen sur l’argent via de nombreux jurés tirés au sort, indépendants des partis comme des nantis auprès de toutes les institutions financières. 
    Ne confions la fameuse « main invisible du marché » ni aux banquiers, ni aux politiques, ni aux religieux, ni aux athées, ni à une quelconque catégorie humaine, mais au hasard incarné par des citoyens ordinaires. Vive la démocratie ! 



  • Michel Portal 23 juillet 2010 11:41

    On a remis en cause beaucoup de choses sauf le système monétaire qui est resté dans l’ombre malgré ses nuisances (pays du tiers monde). 

    Et bien maintenant, il est clair que c’est lui qui est à révolutionner. Le plus tôt sera le mieux.

    Les banquiers ordinaires font un travail utile(comptabilité, intermédiation, prise de risques) mais ceux qui travaillent parmi les banquiers sont sous le joug des usurpateurs de souveraineté que sont les hautes banques planquées derrière la FED et autres BCE.

     Les banquiers honnêtes sont écoeurés ou virés ou démissionnent et ne font pas carrière. Et au fisc, on empêche des fonctionnaires des finances de faire leur travail d’investigation sur certains dossiers...
    « Dans un pays de voleurs, le chef ne peut être que le chef des voleurs. »


  • Michel Portal 23 juillet 2010 10:11

    Pas besoin de rendre le travail obligatoire ! (le travail est l’activité rémunérée).


    L’activité est spontanée chez l’être humain. Toutes sortes d’activités utiles ne sont pas rémunérées (mères ou pères s’occupant de leurs enfants, élèves ou étudiants bossant à l’école ou en fac, services rendus aux voisins, aux anciens, aux handicapés, participations à des actions associatives, à divers conseils, etc). Ces activités nombreuses et vitales ne sont pas reconnues à leur valeur par le système en place actuellement, elles mériteraient des revenus.

    C’est déjà très difficile d’être au chômage, de n’avoir pas ou plus d’utilité socialement reconnue et il faut en plus subir une baisse ou une absence de revenu ! 
    Avec la honte d’écarts de revenus indéfendables et non-corrigés par l’impôt par la République n°5 !
    Chacun, riche comme pauvre, doit recevoir, de sa conception à son enterrement, un revenu universel de sécurité. Un peu dans l’esprit des allocations familiales en 1945. 
    C’est possible avec l’argent rendu public au lieu d’être accaparé par les déjà trop riches.




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