Bonjour, Dans le cadre de solutions, il y a une qui doit être imposée : Que l’Etat reprenne son droit régalien d’émettre la monnaie. C’est R. Barre dans les années 70 qui a donné aux banques, seules, de prêter de l’argent à l’Etat. Ce qui coûtait avant, le papier et l’impression coûtent en plus, depuis, les intérêts des emprunts versés aux banques.
Jamais dans l’histoire un pouvoir ne s’est dessaisi du principe « de battre monnaie », bien au contraire chaque prince voulait battre la sienne ! Le « meilleur économiste de France » par idéologie a supprimé ce principe important.
Bonsoir, Oui, en effet c’est curieux mais c’est R. Barre « le meilleur économiste » de France qui a supprimé ce pouvoir régalien. Du coup l’Etat paye depuis des intérêts... aux banques ! Alors qu’avant ça ne coûtait que le papier et l’impression.
« Un service public fondamental, celui de ’battre monnaie’, sous-traité au secteur privé. Redonner à la puissance publique le soin de ’battre monnaie’.
L’Etat se tire une balle dans le pied : à qui profite le crime. - Mieux encore, si l’on peut dire. Par un décret de 1976, R. Barre, le ’meilleur économiste de France’ d’après le président de l’époque, V. Giscard d’Estaing, décide par ailleurs que l’Etat français remboursera ses emprunts au delà de leur seule valeur actualisée par l’inflation.
- Dit autrement, cela signifie que R. Barre, qui cumulait les fonctions de premier ministre et de ministre de l’Economie et des Finances, prend la décision, jamais remise en question depuis, que l’Etat français, en plus de ne plus pouvoir battre monnaie, paiera un intérêt positif à ses créanciers. »