« Si les Américains permettent un jour aux banques de contrôler l’émission de leur monnaie, les banques et les sociétés qui grandiront autour d’eux priveront le peuple de toute propriété jusqu’à ce que leurs enfants se réveillent sans abri sur le continent de leurs pères. » Thomas Jefferson, 1802. On y est.
Le contrôle à l’ancienne, c’est un bâton à une moitié de la population pour taper sur l’autre. C’était efficace, mais cher et risqué, car l’ennemi est clairement identifié.
Depuis la généralisation de la télé et des moyens modernes de communication, il suffit d’une poignée de journalistes et de politiciens corrompus, accompagné d’assassinats à dose homéopathique. C’est tout aussi efficace, beaucoup moins cher, et cerise sur le gâteau, la majorité de la population a l’illusion d’avoir du poids (donc plus docile) ... What else ?
C’est parce qu’il n’y avait pas Internet. Aujourd’hui, il lui aurait demandé son mail pour rester en contact. A quoi tient un chef d’oeuvre de la littérature ...