Certains commentaires ont plus la forme d’un défoulement que d’une réelle contribution, je ne vous le fais pas dire.
Mais si l’expression de la haine sur un média participatif peut éviter que cette même haine prenne la forme de la violence, alors nous sommes bien dans le cadre du débat que j’appelle de mes voeux.
Pardon pour le style, j’ai fait ce que j’ai pu (parents pieds-noirs, grands-parents espagnols, scolarité écourtée...).
Mais une bonne maîtrise de la langue française (qui est par ailleurs le vecteur principal de la cohésion nationale) aurait dû vous permettre de décrypter ma prose... parfois alambiquée.
L’immigration massive a toujours été en premier lieu un problème pour les pays d’accueil.
Mais une fois que c’est fait, il faut bien faire avec.
A moins que vous n’ayez un penchant pour l’extermination de masse, les camps de concentration ou la guerre civile ?
Dans ce cas-là évidemment, le débat citoyen est sans objet...
D’abord il ne s’agit pas de racisme,comme tente de le démontrer ce texte.
Et ensuite, bien si rien n’a été mis en place, c’est peut-être parce que cet état de fait est celui qui profite le plus :
1- à l’enrichissement de ceux que Marx appelait les propriètaires des moyens de production (avant Bilderberg et les clubs du même genre réunissant les « décideurs » du monde entier).
2 - à l’établissement d’une gouvernance mondiale qui renforcera encore cette concentration des richesses, et poussera les peuples à s’entretuer pour survivre.
D’où l’intérêt d’initiatives citoyennes qui pourraient contrecarrer ce plan totalitaire dont le terme est en bonne voie.
C’est pas dingue d’imaginer des trucs pareils, cher Grandgil !!!! ;)
pour diminuer les tensions inter-communautaires, dont l’origine n’est pas le racisme mais le catapultage de peuples et de cultures - pas toujours compatibles - dans un contexte de paupérisation et de chômage de masse (dû à la course effrénée à la compétitivité qui est le fondement même de la mondialisation), ces deux pistes sont celles supposément suivies par les gouvernements depuis un bail.
Mais en ne remettant pas en cause ce qui est à l’origine de cet état de fait (Europe, capitalisme financier et argent-dette), la situation n’a fait que s’aggraver.
D’où la nécessité de trouver d’autres moyens pour éviter la balkanisation de l’Europe de l’Ouest, selon moi...