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milou

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  • milou 16 mai 2012 23:49

    Bonjour Argo.

    Voila un texte écrit avec mon vocabulaire. Cela me fait du bien de reprendre la mer. Il y a bien longtemps que j’ai mis l’sac à terre !



  • milou 15 mai 2012 18:01


    « mais elle ne remet jamais en cause leurs fondements »

    Dans le cas de ces pompiers ce ne fut pas le cas !!



  • milou 27 décembre 2011 22:24

    OK avec votre analyse Fortunes !



  • milou 20 décembre 2011 12:16

    Dans tous les ports on amène les navires à l’abri, après l’appareillage du port. Je suppose que mon collègue Yves Lanier lui a conseillé le mouillage « sous Groix », réputé sûr. Comme on va sous « Belle Ile ». A Bordeaux on mouille à « Suzac ». Il est certain que l’on ne peut encombrer un port avec des navires en partance, et, parfois on leur fait courir de gos risques en les maintenant coûte que coûte à quai. Je me souviens du cas du porte conteneurs, tout neuf, « Ronsard », dans les années 80 qui s’était déchiré la coque sur les quais du Verdon/mer, pour obeïr à des ordres idiots de sa boite, de rester à quai malgré la forte houle (les sèches), au lieu d’aller au mouillage, en face.
    Je me souviens lorsque j’étais plus jeune, et, alors second capitaine à bord d’un cargo, à l’ile de la Réunion, au « port des galets », être resté à quai durant un cyclone, car les pilotes n’étaient pas chauds pour nous sortir. Nous avions tout cassé ! Nous raboutions les amarres au fur, et, à mesure qu’elles cassaient. Nous avions mis les chaines à quai, avec des pneus de tracteurs (du fret) comme amortisseurs. Pour finalement traverser la darse, hors contrôle, et défoncer un navire des Mess-Mar, qui n’était pas mieux loti. Bilan 2 navires cassés, quais immobilisés, bittes d’amarrage cassées à la base (comme avec une tronçonneuse), voitures à quai (fret) décapitées par les amarres, et, j’en passe.
    Alors rester à quai ? sortir pour prendre le mouillage sous le vent ? ou faire route à la cape, ou mettre le « cul dedans » (quand on peut ? Vaste débat pour nos techniciens des ministères, qui ne connaissent de notre flotte, ou ce qu’il en reste, que les bateaux mouches, qui passent devant Bercy, voire les bateaux gonflables de leurs lardons sur les plages de La Baule, ou de l’ile de Ré.
    Alors les rodomontades de ces gens là !!  


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