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Miona

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La petite poupée peut enfin grandir, parmi les vivants, ceux qui restent. Même si les monstres ne se laissent pas facilement apprivoiser... 
 

Tableau de bord

  • Premier article le 15/02/2013
  • Modérateur depuis le 13/08/2015
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Derniers commentaires



  • Miona Miona 15 mai 2013 22:24

     J’ai eu le même syndrome...

    Faire voler en éclats la moindre chance de réussir ses études, alors qu’on était la meilleure élève de l’établissement...
    Pfiou, c’est pas une bonne idée d’exploser comme ça... On le sait que ça va être un gros gâchis... mais on fonce quand même, en fermant les yeux, et ça fait mal...
     


  • Miona Miona 3 mai 2013 23:40

     Les brunes comptent pas pour des prunes... (^_^) 



  • Miona Miona 3 mai 2013 22:12

     ¿ ...le goût de ses lèvres... ? : Fabuleux ! Miraculeux ! C’est le minimum requis pour faire partie du club des blondes aux yeux bleus ! Sacrebleu ! (^_^) 



  • Miona Miona 29 avril 2013 21:13

     « Et dire qu’en Dieu il n’y a pas place pour l’autre est à la fois vrai et faux.. Vrai car en Dieu il n’y a que Dieu et faux car nous sommes tous inclus en Dieu et que Dieu se trouve dans le cœur de tout homme...

     
    Si votre religion consiste à simplement rester un homme, grand bien vous fasse, mais je crois que dans ce cas, faudra pas espérer sortir de tous les travers qui ont jalonné l’humanité...  »
     
     
      Les travers qui ont jalonné l’humanité seraient donc aussi les travers de Dieu ? « ...car nous sommes tous inclus en Dieu et que Dieu se trouve dans le cœur de tout homme...  »
     


  • Miona Miona 22 avril 2013 15:17

     

    Correction : 
    Le souci de Wong Kar-wai a donc été de relater cette quête de perfection au coeur d’une époque troublée avec, au final, la solitude et la mélancolie si chères au cinéaste et qui, dans cet opus magistral, atteint son expressions la plus dépouillée. Tony Leung est un Ip Man aussi noble que sage et élégant face à une Zhang Ziyi impressionnante de détermination et de passion contrôlée. : OK
     Le chef-d’oeuvre absolu. : pas totalement OK
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