J’avais entendu parler de ce délire via les chaines infos ... je ne doutais pas que cela vienne rebondir sur Avox ... Encore une nouvelle info « Ouatezefeuque » dont l’intérêt reste encore à démontrer.
Est-ce la position ou le fait de prendre plus de place ? Devra-t-on lier les jambes de personnes plus enveloppées ?
Dans le même ordre d’idée (à la con), mon fils m’avait rapporté que dans sa classe de lycée, alors qu’il avait croisé ses jambes, d’autres élèves lui avait fait remarquer que c’était une attitude féminine !
Tout cela me laisse à penser qu’il doit s’agir d’un complot des unijambistes ou des cul-de-jatte métrosexuels.
...et à toutes les âmes vivantes engagées dans leur propre transformation...
Une phrase qui illustre parfaitement l’univers et la vocation de Jodo !
Merci pour cet article qui m’a rappelé les soirées hebdomadaires du Cabaret Mystique où j’écoutais, avec plaisir, rires, doutes ou vertiges, « chanter » cette incarnation du Mat, chercheur éternel du Tarot, qui savait nous emporter dans un vent mystique à partir d’une blague de comptoir jusqu’aux plus saintes écritures religieuses de tous horizons.Alejandro Jodorowski est un formidable conteur dont les interrogations sont toujours universelles.
C’est aussi et d’abord par la BD et l’Incal (dans le défunt et regretté mensuel Métal Hurlant) que j’ai découvert Jodo. Avec Moebius, cétait le duo parfait ! L’Incal demeure une oeuvre clef de la SF (et de l’univers symbolique de Jodo). Ils ont aussi commis ensemble une trilogie (Le coeur couronné) assez « autobiocritigraphique » si je peux oser un tel néologisme (Jodo a bien imaginé la PsychoMagie alors j’vais pas m’gêner). Mais il a également collaboré avec d’autres dessinateurs de talent. C’est avec Arno qu’il a réalisé les Aventures d’Alef-Thau. Mais il a aussi écrit avec Georges Bess, Gimenez, Fred Beltran, Janjetov, J.C.Gal, François Boucq, Dongzi Liu, Ladronn, Nicolas Fructus (j’en oublie peut-être)... Bref ... 84 ans et encore aussi pétillant qu’une étoile. Respect !
Même si son titre est en effet ambigu dans l’interprétation que l’on peut s’en faire, pas si méchant que ça l’article de cette journaliste du Monde... Je ne crois pas qu’on puisse y voir une évidence de « Taddéi Bashing » et c’est un portrait plutôt bien écrit finalement.
Mais si l’on y suspecte un dénigrement de Taddéi, alors c’est vraiment d’une suave et tendre poésie, comparé à d’autres tel que celui-ci. On y atteint de tels sommets, dans la forme propagandiste, que j’ai cru tout d’abord qu’il s’agissait d’une parodie !
Je finis avec un sourire : Canteloup évoque le sujet Sublet (à partir de 8’20)