Les réactions légitimes que suscite cet article soulignent le véritable problème que constitue « l’immigration subie ».
Rien n’est vraiment comme il paraît : nous en parlons dans une autre publication.
Notre humble contribution consiste simplement à proposer un autre regard sur un phénomène de société et une histoire récente qui, à l’évidence, marque encore les cœurs et les esprits...
Cet article est une caricature. Qui connaît l’Algérie
d’avant 1962 sait combien la métamorphose est singulière. Affirmer que rien n’a
été construit depuis l’indépendance relève soit de l’ignorance, soit de la mauvaise
foi la plus incompréhensible.
Ces propos sont généralement le fruit d’une haine sourde et continue pour ce
pays qui n’a pas respecté le calendrier post colonial et pour sa politique
internationale pour le moins atypique.
Une population multipliée par cinq, avec soins et
éducation pour tous, un accès à des services (énergie, alimentation, transport)
à des prix jugés anormalement bas par les instances mondialistes.
Certes, cette politique « socialiste » n’a pas
toujours été heureuse : la réforme agraire n’a pas atteint ses objectifs,
l’administration omniprésente, à la française, est envahissante. Mais depuis
dix ans, l’entreprise individuelle est encouragée, et financée par des prêts
attribués larga manu. L’autosuffisance alimentaire est quasi atteinte.
Enfin, ses dirigeants, comme toutes les oligarchies au
pouvoir, profitent certainement de leur position. Est-ce différent dans le
monde occidental ?
A part chez les élus d’Europe du Nord, les abus de la
ploutocratie sont la règle universelle. Les richesses nationales sont, au moins
en partie, restées ici au profit de la population au lieu d’enrichir les
multinationales.
Les opposants au pouvoir s’expriment légitimement,
mais une révolution à la libyenne ne peut être souhaitée que par des esprits
malintentionnés.
Nous qui avons connu l’Algérie, avant et après
l’indépendance, on reste surpris de sa performance à survivre à la limite, et
presque en marge, du modèle mondialiste qui vit actuellement son brutal
reset.
La jeunesse algérienne, comme dans le reste du monde, lit et écoute les réseaux
sociaux. L’histoire réelle n’est plus enseignée. La science économique a cédé
la place à l’économie politique qui conduit aux désastres financiers. Un pays
entier peut être conduit à la ruine en quelques semaines.
Attention de ne pas lâcher la proie pour l’ombre...
Merci à l’auteur qui nous permet ainsi de réfléchir
sur la situation actuelle.
Nous pensons que ses écrits constituent en réalité un
bénéfique aiguillon de la pensée. Tout ce qui est excessif est insignifiant.
Cet article est une caricature. Qui connaît l’Algérie d’avant 1962 sait combien la métamorphose est singulière. Affirmer que rien n’a été construit depuis l’indépendance relève soit de l’ignorance, soit de la mauvaise foi la plus incompréhensible. Ces propos sont généralement le fruit d’une haine sourde et continue pour ce pays qui n’a pas respecté le calendrier post colonial et pour sa politique internationale pour le moins atypique.
Une population multipliée par cinq, avec soins et éducation pour tous, un accès à des services (énergie, alimentation, transport) à des prix jugés anormalement bas pour les instances mondialistes.
Certes, cette politique « socialiste » n’a pas toujours été heureuse : la réforme agraire n’a pas atteint ses objectifs, l’administration omniprésente, à la française, est envahissante. Mais depuis dix ans l’entreprise individuelle est encouragée, et financée par des prêts attribués larga manu. L’autosuffisance alimentaire est quasi atteinte.
Enfin, ses dirigeants ont, comme toutes les oligarchies au pouvoir, profitent certainement de leur position. Est-ce différent dans le monde occidental ? A part les élus d’Europe du Nord, le règne de la ploutocratie est la règle universelle. Les richesses nationales sont, au moins en partie, restées au profit de la population, au lieu de partir vers les multinationales.
Les opposants au pouvoir s’expriment légitimement, mais une révolution à la libyenne ne peut être souhaitée que par des esprits malintentionnés.
Nous qui avons connu l’Algérie, avant et après l’indépendance, on reste surpris de sa performance à survivre à la limite, et presque en marge, du modèle mondialiste qui vit actuellement son brutal reset. La jeunesse algérienne, comme dans le reste du monde, lit et écoute les réseaux sociaux. L’histoire réelle n’est plus enseignée. La science économique a cédé la place à l’économie politique qui conduit aux désastres financiers. Un pays entier peut être conduit à la ruine en quelques semaines.
Attention de ne pas lâcher la proie pour l’ombre...
Merci à l’auteur qui nous permet ainsi de réfléchir sur la situation actuelle.
Nous pensons que ses écrits constituent en réalité un bénéfique aiguillon de la pensée. Tout ce qui est excessif est vain.