MonsieurG

Si je peux me permettre, aujourd’hui, suis-je le seul à me poser la question suivante : à qui appartient l’espace public ? Au peuple ? Aux habitants d’un quartier ? A la mairie ? Au Gouvernement ? Ou, tout simplement, à une religion dominante ?

On est en droit de se poser la question sans pour autant attirer les foudres ?

Les interventions de Jude sont intéressantes.

Inscription ce jour, pour défendre une manifestation qui se veut conviviale, entre personnes de bonne compagnie, mais surtout discrète.

Totalement paradoxal de s’afficher ici, allant même jusqu’à s’inscrire spécialement sur Agoravox pour défendre l’initiative. Cela dit, comme le soulignait l’auteur de l’article, je cite : « Régulièrement, pour brouiller les pistes, des membres affirment que cette page est fausse. », nous avons bel et bien la preuve que ce comportement est vérifiable et ce, dès la 2eme intervention de Jude. Il n’a pas perdu de temps.

Pourquoi venir défendre ici un tel évènement qui se veut discret et qui souhaite rassembler des personnes de bonne compagnie ? C’est quoi votre objectif ? Vous souhaitez nous vendre votre concept ? Nous coopter ?

Il y a quelque chose d’incohérent dans votre initiative, Jude. Je n’arrive pas encore à mettre un mot dessus, mais peu importe.

Quand à l’article, même si ce n’est qu’une légende urbaine, c’est instructif. D’autres initiatives existent et rassemblent d’autres personnes de bonne compagnie, avec d’autres thèmes moins élitistes (projections cinématographiques sauvages). L’initiative citoyenne spontanée pour occuper l’espace public à encore de beaux jours...

500e article de l’auteur sur Agoravox.
Belle performance. Bravo !

Sinon, rien à dire sur votre article (comme d’habitude).

Je n’ai pas l’habitude de rentrer dans les débats provoqués dans les commentaires, l’habileté de la provocation mèlant un soupçon de vérité n’étant qu’un jeu d’une profonde médiocrité. Mais je ne vous apprends rien.

Je passe sous silence une grande partie de votre réponse, car... je cherche véritablement où est l’argumentaire. En effet, mis à part rappeller à vos lecteurs (car nous sommes bien sous l’un de vos articles, non ?) qu’un simple clic sur mon pseudonyme permet d’y consulter facilement mon historique de présence sur Agoravox, je ne comprends pas où vous voulez en venir... ?!

Ha si ! Je viens de comprendre en fait. Voyez vous, l’innaptitude de mon esprit à se concentrer face à vos écrits, met quelque peu à mal ma capacité à réfléchir. Soit... Je n’ai pas la prétention d’être à la hauteur de votre « oeuvre » ; ni sur Agoravox, ni dans tout ce que vous avez pu produire durant toutes ces années. Et pour cela, je vous respecte. Sincèrement. Pas de troll, pas d’abusifs sous-entendus.

C’est pour cela que je me permet, en toute franchise, de vous dire que je ne m’en irait pas. Où de manière plus argotique : va te faire foutre.

Mais c’est bien essayé.

C’est parce que je respecte votre travail et le dévouement que vous mettez dans vos articles que je vais rester. Ce sont vos commentaires et votre inaptitude à pouvoir vous contrôler pour mener un débat dans la ligne éditoriale de votre article qui m’agace le plus. Mais ça n’engage que moi.

Merci quand même pour votre réponse.

Monsieur l’auteur « Morice »,

Au delà de vos travaux de recherches définitivement impressionnants, je m’interroge depuis fort longtemps sur vos motivations et l’énorme décalage entre vos commentaires et vos articles. Il est assez surprenant qu’un auteur aussi prolifique sur Agoravox que vous, ait un comportement aussi compulsif sur les commentaires qui accompagnent la grande majorité de vos articles.

Incapable de tenir une ligne éditoriale, régulièrement vous sombrez de manière compulsive (j’en ai la preuve... ça fera l’objet d’une petite histoire une autre fois) dans des dérapages d’une ineptie vertigineuse. Vous abusez vous même du droit de réponse, dérapant régulièrement (tout aussi régulier que vos dossiers illisibles d’un point de vue rédactionnel mais riche en sources diverses et variées) en sortant du contexte de l’article que vous venez d’écrire. Par dessus tout, vous abusez du privilège de réponse alors que vous utilisez à votre convenance le « repliage » des commentaires qui vous semblent futiles.

Bref, ce comportement ne vous sert pas. Vous êtes tout bonnement incapable d’orienter un débat, êtes-vous seulement capable de vous tenir vous même ? Un homme, un auteur de votre rang (en exposant votre CV en guise de description), nous sommes en droit d’attendre de votre part une certaine tenue, un certain contrôle voir, pourquoi pas, une certaine ironie dans vos réponses. Mais... que neni.

Vous attaquez en frontal des pseudonymes. Vous supputez que tel ou tel commentaire sur vos articles proviennent de telle ou telle personne, sans doute convaincu par un instinct qui vous fait cruellement défaut (la encore, j’en ai la preuve... un simple test que j’ai réalisé discrètement sur l’un de vos articles).

Vous ressemblez, de loin, au « papi_qui_fait_chier_pendant_les_repas_de_famille » en adoptant cette attitude.

Je vous dit ça en toute amitié, attirant sans doute votre inimitié immédiate. Mais rassurez-vous, je ne suis pas là pour me faire des potes.