Pour la gifle de Berlaimont, il faudrait peut-être arrêter le corporatisme primaire. Il faut rappeller : - que l’insulte est venu après que le professeur ait plaqué l’éléve au mur (entre autre) - qu’on parle d’un professeur d’1m90 vis a vis d’un élévé de sixième de 30kg, « sans histoire » - que l’épisode est qualifié ainsi par le procureur : "Ce n’est pas une gifle, c’est une scène de violence. Au-delà de
ces violences, il y a une volonté d’humiliation".