Désolé les gars, juste un peu de bon sens et de recul. Si tout le
monde a bien compris que tout passe par les banques et que tout lobby,
retraite, mutuelles et autres, en fait un tronc commun indispensable à son
jeu, rendons ces dernières le plus obsolète possible. Facile à dire, me direz-vous.
Pas tant que ça. Sortez de vos habitudes bancaires tellement bien
huilées que vous les pensez indispensables, et vivez autrement. De moutons
consommateurs passez au stade du propriétaire réel de vos économies. Personne
aujourd’hui n’a vraiment de l’argent à soi. Allez essayer de sortir vos
centimes, ou vos millions, pauvres ou riches, de votre banque et vous
comprendrez que le seul propriétaire actuel de vos économies, de votre travail
en somme, ce sont les banques, pas vous !!! Elles s’en servent, l’utilise,
le dépense, et le font bien mieux fructifier que vous, mais pour eux !!!
Partant de ce principe, ne leur concéder rien, ou juste de quoi ne pas être à
découvert. Nos grands-parents s’en passaient très bien, ils avaient juste un
peu plus de courage. Le courage de sortir la totalité de votre salaire le
lendemain de son arrivée sur votre compte, le courage de vous passer des "
commodités avilissantes " de votre carte bleue, le courage d’empiler
vos économies et d’acheter cash, sans crédits, votre voiture ou votre
appartement, le courage de limiter au maximum tout actions bancaires en général.
Je le fais depuis bien des années, ce sont d’autres habitudes, ni moins, ni
plus faciles que les vôtres, une manière de vivre juste un peu différente. « Marginale
et sans inquiétude » m’a même dit un jour ma chère conseillère, tant il
est vrai qu’un mouton qui sort de son troupeau ne les touche pas plus que ça. A
partir de cet instant, lorsque votre banque voit votre salaire entrer et aussitôt
ressortir, vous allez devoir faire face à une multitude de demande de Rdv de
leur part. « Vous comprenez, tant d’argent, non placé, non encadré »,
montrant, si vous ne l’aviez pas encore compris et à l’instar d’une fourmi s’inquiétant
de la vie de ses pucerons, tout leur intérêt envers votre travail. Vous pouvez
vous en passez, je le fais, d’autres le font, devenez indépendant et enfin, propriétaire
de votre vie. Courage.
Loin de nos montagnes, de nos vallées, je reste de tout cœur avec vous
contre cet étalage de pognon qu’est devenu le tour de France. Comment peut-on
être aussi abruti pour valider ce défilé de pharmacies à deux roues en
allant les contempler. La
France profonde a beau être continuellement lavée du cerveau,
jugée presque irresponsable, il est de notre devoir, soit de la réveiller, soit
de ne pas tenir compte de ses borborygmes. En faisant un peu de topo, vous
pourrez rapidement vous apercevoir qu’un joli pont de pierre enjambe, à un
endroit donné, un non moins joli ruisseau. Si l’endroit déjà cité dans d’autres
articles est réellement parfait pour un gentil ralentissement, ne vous faites
pas voler votre action par des éléments extérieurs. Nous ne voulons pas d’un
ralentissement mais bien d’un refus total de passage. Entre nous, vous avez une
belle falaise dominant le pont qui ne demande qu’à s’ébouler. Mieux vaut passer
15 jours au soleil à déblayer le pont que passer ramasser les ordures de ses « drogués ».
Courage.