Morris

Imhotep,

1 – La Cour des Comptes a dit-cela ? Où ? Quand ?

Et la « politique franco-française » cela veut dire Néron-Sarkozy ?

Vous êtes vraiment très confus.

2 – C’est donc vous qui décidez avec qui la France doit être comparée ?...

Évidemment, comme la comparaison avec les autres pays réduit à néant votre tentative de démonstration, vous ne souhaitez vous intéressez qu’à ce qui vous arrange, un procédé classique de militant.

Surtout que, sans vous en rendre compte, dire que je les compare avec des mauvais est une façon de dire que la France est meilleure. Surtout que ces « mauvais » (Royaume-Uni, Italie, Espagne et tant d’autres si on ne se limite pas au G5 européen) n’était pas si mauvais avant la crise et que il semblerait que Sarkozy ne soit ni Président, ni premier ministre, ni dirigeant de ces « mauvais » pays.

Vous vous prenez dans le tapis de votre propre argumentation et montrez que la France soutient la comparaison avec beaucoup d’autres pays.

Je n’aurais pas fait mieux.

Pour votre culture économique (qui en a grand besoin), l’Italie n’a pas un commerce extérieur excédentaire. Il est déficitaire de 23 Mds d’euros sur les neuf premiers mois de 2011.

J’écoute, comme vous, les agences de notation et, à l’exception de S&P, aucune n’envisage de dégrader la France dans l’immédiat.

Hier, Fitch a confirmé la note française AAA avec une perspective négative qui « indique qu’il y a un peu plus de 50 % de chance d’un abaissement de la note d’ici à deux ans".

Le Titanic ne va pas sombrer tout de suite.

Un bien piètre article.
Le contexte international est minoré et la comparaison avec ce qui se passe ailleurs est ignorée.
Il suffirait pourtant de comparer la situation dans les cinq premières économies européennes (Allemagne, France, Royaume-Uni, Italie et Espagne), pour s’apercevoir que, à l’exception de l’Allemagne, Sarkozy a permis à la France de résister à la crise mieux que les autres.

De cela, aucune trace dans cet article qui manque de chiffres et de références.
L’une des rares « données » chiffrées concerne la crise qui« n’est que 30% ».
("Il est vrai que dans son combat pour détruire la France et ses emplois, la crise l’a un peu aidé. Mais il faut rendre à Néron, ce qui est à Néron, la crise ce n’est que 30 %, lui c’est le reste et il peut en bomber la poitrine.") 
30% de quoi ? Appliquer à quoi ? A partir de quelles données ?
Un chiffre vide de sens à l’image de cet article brouillon.

@ LE CHAT

Vous posez la question essentielle de cette élection et, d’abord, de la campagne de Hollande.

Après avoir pensé qu’il était déjà Président, il fait maintenant une campagne de 2nd tour atone, « recentré » pendant que ses « lieutenants » détricotent méticuleusement le projet socialiste pour le rendre rigoristo-compatible.

Il voulait « réinventer le rêve français », il ne semble capable que de le désenchanter.

@ Alpo47

Votre commentaire est une très bonne illustration de ce « besoin d’un conformisme » (et même d’ultra-conformisme) en reprenant des idées et des termes « certifiés » qui vous permettent de parfaitement entrer dans le « moule » des votants d’Agoravox.

Je ne doute pas que vos commentaires doivent souvent être les plus appréciés.
Tellement « conformes »...

@ kerjean

Si tous les gars du monde...