@Opposition contrôlée On ne peut rien refuser au « Flic du Pétrole » (expression de Michel Collon). Quand tout ça sera tari, il sera temps de faire « Aliyaback » ou de flotter sur une barge au milieu de la Méditerranée... en attendant Messiah !
, dans les mains de ceux qui manifestent toujours des sentiments exécrables envers l’Algérie et son peuple.
Dommage que la majorité des Algériens soit née après 1962... par contre coup, dommage que la plupart de ceux qui avaient plus de 15 ans à l’époque, aient quitté ce monde. Ceux-ci auraient pu avantageusement informer ceux-là de la réalité de Leur Révolution ainsi que du partage des richesses de la SONATRACH...
Propos d’un travailleur algérien de passage à Marseille avant son embarquement pour Alger-la-Blanche, à l’occasion des vacances d’été vers 1966 :
« quand le FLN a eu besoin de notre sang, il a fait appel à nous, après qu’il se soit installé au pouvoir... on n’a eu plus qu’à aller chercher du travail en... France ! »
Tsépé, tu es neu-neu !
Ton discours date. Même en classes Primaires, les profs ont plus de considération pour leur auditoire.
Ne peux-tu vraiment faire mieux ?