Mon pere ,mon oncle étaient avant 1950 des éléves d’une grande mosquée et haut lieu de la pensée islamique de Tunis.Ils nous ont inscris mon frere et moi dés l’age de 6 et 7 ans dans une ecole jésuite nos copains et camarades de classe étaient juifs et et chrétiens.
En bons musulmans mes parents étaient tolérants,les fréres jésuites et les rabins aussi et la laicité peut l’etre aussi sauf que certains laics veulent refaire le monde en le plongeant dans des guerres fratricides il est temps de s’émouvoir devant la précarité des hommes,la pollution atmosphérique et notre prochaine défaite face aux catastrophes naturelles notre perte est là qu’allons nous laisser comme heritage à nos enfants.Néozenith il faut voyager voir du monde et en quelque sorte "oxygener" son esprit.
La presse indienne dénonce un narcotrafiquant lié au MI6
1er décembre 2008 (Nouvelle Solidarité) – Au lendemain des attentats sanglants de Bombay, le quotidien Indian Express accusait le narcotrafiquant Dawood Ibrahim d’avoir apporté le soutien logistique à cette opération terroriste, véritable acte de guerre asymétrique.
Aujourd’hui basé à Karachi, au Pakistan, et à Dubaï, Dawood Ibrahim est depuis des années le parrain de la mafia de Bombay. Il est aussi l’instigateur d’un vaste trafic d’or entre l’Inde et le Népal et a établi des liens notoires avec les trafiquants d’opium de toute l’Asie du Sud. Il a déjà un lourd passé dans l’activité terroriste puisqu’il était derrière le détournement d’un vol d’Air India vers l’Afghanistan en 1999, et l’attaque contre le Parlement indien à New Delhi en 2001. A cause de ses liens avec Al Qaida et le groupe Lashkar e-Taiba (basé au Pakistan), il est, depuis 2003, sur la liste noire du terrorisme dressée par le département d’Etat américain. Il est considéré par diverses sources comme un pion des éléments les plus corrompus des services secrets pakistanais (l’Inter-Services Intelligence - ISI), qui sont liés aux services de renseignement extérieur britanniques (Military Intelligence 6 – MI6).
Le trafic d’or dirigé par Dawood Ibrahim fait partie intégrante de l’appareil britannique de blanchiment offshore de l’argent sale, qui existe depuis les Guerres de l’Opium menées au XIXe siècle par la Compagnie britannique des Indes orientales contre la Chine et l’Inde. Des sources dans le renseignement américain ont indiqué que le centre du blanchiment, situé dans les paradis fiscaux britanniques des Caraïbes et de l’île de Man, avait été étendu à Dubaï afin de faciliter la déstabilisation de l’Asie du Sud-Ouest et du Sud.
Des sources du renseignement indien ont indiqué, après avoir interrogé les assaillants, que les attaques n’ont pas pu être menées sans une aide « intérieure » significative. Les réseaux de Dawood Ibrahim, toujours bien implantés à Bombay, ont joué un rôle clé dans les attaques perpétrées la semaine dernière.
Le rôle de Dawood Ibrahim et de ses réseaux, ainsi que ses liens avec Ahmed Omar Sheikh, un terroriste sous influence britannique, ont été largement documenté par l’Executive Intelligence Review depuis des années. Le 11 janvier 2000, l’EIR a soumis un mémorandum [*] au département d’Etat américain, demandant que soit diligentée une enquête visant à déterminer si la Grande-Bretagne devait être placée sur la liste des Etats sponsorisant le terrorisme.
Ce mémorandum, basé exclusivement sur des renseignements collectés par le gouvernement des Etats-Unis ou d’autres gouvernements, donnait les noms de toutes les organisations terroristes sponsorisées par la Grande Bretagne, un phénomène « récemment souligné par le détournement du vol d’Air India en décembre 1999 et la réponse du gouvernement britannique à la demande de refuge d’un des terroristes cachemiri libéré, Ahmed Omar Sheikh. M. Sheikh, un citoyen britannique, a été jugé en Inde et reconnu coupable pour son implication dans l’enlèvement de quatre anglais et un américain en 1995. Il a été condamné en novembre 1998, à 5 années d’emprisonnement. Le gouvernement britannique avait d’abord annoncé son intention de lui accorder refuge et de ne pas le poursuivre, ni de chercher à l’extrader vers l’Inde. »
Bien que la pression internationale ait empêché la Grande-Bretagne de donner suite à cette proposition, Ahmed Omar Sheikh, étudiant à la prestigieuse Forest School, puis à la très renommée London School of Economics (LSE), avait auparavant été recruté par le MI6 (d’après des sources dans les services de renseignement indiens et américains) et déployé en Bosnie, avant de ressurgir en Asie du Sud dans cette affaire d’enlèvement. A son retour des Balkans, Sheikh abandonna ses études à la LSE et s’envola pour les camps d’entraînement afghans. De là, il se rendra en Inde et participera à l’enlèvement de 1995. Après sa libération en décembre 1999, en échange des otages du vol détourné d’Air India, il se réfugia en Afghanistan. Il est aujourd’hui détenu au Pakistan pour l’enlèvement et l’assassinat du journaliste américain Daniel Pearl. Il est également soupçonné d’avoir participé à l’organisation des attentats du 11 septembre 2001.
Attaques terroristes de Mumbai : cachez-moi cette piste britannique que je ne saurais voir !
29 novembre 2008 (Nouvelle Solidarité) – Universellement présenté comme un « 11 septembre » indien, car il s’agit d’une attaque contre la capitale économique et financière d’un pays du G20, le dernier bilan du carnage de Mumbai fait état d’au moins 195 victimes.
Si l’enquête ne fait que s’ouvrir, pour Lyndon LaRouche le rôle des Britanniques ne fait guère de doute. Pour diagnostiquer la présence d’une tempête, point besoin d’interroger les gouttes d’eau qui tombent. C’est la compréhension d’une dynamique d’ensemble qui fournit les hypothèses les plus fructueuses pour avancer vers la vérité. Ce n’est pas l’empirisme d’un Sherlock Holmes, mais la science des hypothèses de Dupin dans l’œuvre de Edgar Allan Poe qui sert de référence.
En effet, qui d’autres que les intérêts financiers anglo-hollandais pourraient mieux que quiconque profiter d’une vaste crise régionale et internationale entre l’Inde et le Pakistan, pour faire oublier la crise systémique affectant le capitalisme financier ?
Sur le terrain, la mainmise du fameux Inter Service Intelligence (ISI), le service secret officiel du Pakistan, sur certaines branches de la nébuleuse Al-Qaeda et ses clones dans la région, est un secret de polichinelle. Le gouvernement indien vient d’ailleurs de demander la collaboration de l’ISI et la venue de son directeur, le lieutenant général Shuju Pasha. Dans un premier temps, ce dernier a refusé l’invitation en promettant l’envoi d’un officier subalterne. Aujourd’hui, le Pakistan annonce que personne de l’ISI ne se déplacera vers Mumbai, tout en promettant l’envoi symbolique de responsables politiques sur place.
Par ailleurs, personne n’ignore la proximité de l’ISI avec les services secrets occidentaux. Si la CIA a appuyé pendant un temps la mouvance taliban dans la région, la visite d’un de ses hauts fonctionnaires au Pakistan au mois de juillet dernier indique que les choses ont bien changé. Les attaques grandissantes des talibans contre les forces de l’OTAN et les Etats-Unis amène ce pays à vouloir changer de cap. Ainsi, en juillet de cette année, Stephen Kappes, sous-directeur de la CIA, s’est rendu à Islamabad pour sommer le gouvernement pakistanais de mettre de l’ordre dans ses services secrets. L’ISI fournit également depuis des années une protection à Ibrahim Dawood, un homme d’affaires indien véreux et grand patron du crime organisé de Mumbai.
Cependant, en réalité, on a des bonnes raisons pour croire que c’est le MI6, les services de renseignements extérieurs anglais, qui continuent de protéger certaines factions de l’ISI dans leurs opérations les plus obliques.
Ainsi, il est à noter que si l’Inde a toute suite pointé du doigt les responsabilités du Pakistan, elle a immédiatement ajouté que quatre des terroristes seraient, bien que d’origine pakistanaise, des citoyens britanniques ! Le gouvernement indien a même précisé que deux d’entre eux venaient de la ville anglaise de Leeds, un de Bradford et un autre de Hartlepool, au Royaume Uni. Gordon Brown a déclaré hier qu’il était « prématuré » pour s’exprimer sur la question mais Scotland Yard vient d’expédier des équipes d’enquêteurs en Inde.
Bizarrement, le gouvernement indien vient de changer d’avis et déclare à ce jour qu’aucun citoyen anglais n’est impliqué dans les attentats meurtriers.
La participation éventuelle de musulmans vivant en Angleterre contredit deux thèses. La première est celle qui fait croire qu’il existe une minorité musulmane « brimée » en Inde, susceptible d’être instrumentalisée par Al Qaeda.
La deuxième voulait que, suite aux attentats de Londres de 2005, le gouvernement britannique aurait finalement mis fin à la liberté totale offerte à un certain nombre de groupes terroristes autorisés à opérer librement sur le territoire de sa majesté, la fin donc du fameux Londonistan (contraction de Londres et Pakistan) décrit par Dominique Thomas dans un livre éponyme publié en 2003.
Que la fin du Londonistan est un mythe est amplement démontré par la tenue, jeudi soir à Londres, d’un meeting des Tigres Tamoul du Sri Lanka, un mouvement impliqué dans des attentats à la bombe, dans l’assassinat de Rajiv Ghandhi en 1991 et celui du Président sri lankais Ranasinghe Premadasa en 1993.
Notoirement impliqué dans l’extorsion de fonds et le trafic de drogue, les Tigres ont depuis fort longtemps élu domicile dans la capitale britannique. Jeudi soir, plusieurs leaders du groupe, dont certains recherchés par Interpol, ont pu s’exprimer sur grand écran devant plusieurs dizaines de milliers de sympathisants.
La question qui se pose donc immédiatement est de savoir qui, en Asie, en Europe et ailleurs, aura le courage d’appeler un chat un chat et un britannique un britannique…
Un dirigeant d’HSBC veut un nouveau Weimar
26 novembre 2008 (Nouvelle Solidarité) - Face à la « pénurie d’argent », Stephen King, économiste en chef de la Hong-Kong and Shangaï Corporation Bank (HSBC), la vieille banque de l’impérialisme britannique, a appelé, dans sa chronique du London Independent de mardi, à « faire marcher la planche à billets ».
« La crise financière mue (…) elle devient rapidement une crise de liquidation (…) nous allons vers une déflation mondiale (…) le volume total des prêts diminue inévitablement (…) les entreprises, les ménages et les investisseurs craignent une pénurie de cash. Lorsqu’ils en ont, ils s’y accrochent. Pour en lever, ils vendent leurs actifs ayant une valeur d’échange. La panique prend le dessus. »
En réalité, il n’y a pas assez d’argent dans le monde pour couvrir les gains fictifs réalisés sur les marchés des dérivés, bulle estimée à plusieurs millions de milliards de dollars. Face à cela, la seule solution sensée est de fermer ces marchés spéculatifs et d’annuler la dette qu’ils représentent. Mais King, en bon parasite, appelle les banques centrales à pisser de l’argent autant que nécessaire pour couvrir ces actifs spéculatifs.
« Il faut faire marcher la planche à billets car dans notre monde nouvellement déflationniste, le problème est la pénurie d’argent ». Cette politique pourrait provoquer « une hyperinflation similaire à l’Allemagne de Weimar dans les années 20 et aujourd’hui au Zimbabwe », explique t-il, mais « nous sommes dans une période exceptionnelle ». Et « pour rendre cette politique crédible, elle ne sera pas l’initiative des ministres des Finances mais des banquiers centraux du monde ».
King nous montre ainsi le vrai visage du fascisme financier qui se cache derrière le paravent de « l’industrie de la finance » : dévaluer la monnaie des nations pour sauver le pouvoir de ces intérêts financiers et laisser mourir les gens ; comme dans l’Allemagne des années 20 et 30.