Sur l’article de DeDefensa sur les (non) réponses américaines : http://www.dedefensa.org/article-nous_savons_parce_que_nous_savons_parce_que_nous_savons_22_07_2014.htm l Ph. Grasset écrit : "C’est bien un monde baroque, surréaliste, complètement fantasmagorique
et dans un état d’énervement remarquablement exacerbé, où la
porte-parole du département d’État conseille aux journalistes
professionnels accrédités d’aller chercher sur les réseaux sociaux,
d’habitude
pourfendus pour leur absence de professionnalisme et leurs attitudes
antiSystème, les preuves irréfutables de la culpabilité russe. Le
paradoxe de ces étranges pratiques de ce qu’on jugerait être un Système
dans un tel mode de surpuissance qu’il frôle la folie avant de
choisir l’option de l’autodestruction, c’est qu’il traite comme des
chiens, – que ce noble animal nous pardonne mais ce n’est qu’une image,
– les journalistes de la presse-Système qui en général retranscrivent
docilement la narrative dudit Système."