je ne fustige pas les italiens, j’ai de nombreux amis italiens, j’aime les italiens, comme les espagnols, les allemands, les bulgares, les ... et je suis heureux souvent de leur faire découvrir notre île de beauté. Je suis corse, francais et européen.
Et je ne vous visais pas personnellement en parlant des italiens plus corses que tous les autres, je ne vous connais même pas. Mais vous pouvez reconnaître qu’ils y en a quelques un fort en gueule pour parler de « notre » nation corse et qui porte des noms italiens.
Je n’ai aussi pas de problème pour parler d’autonomie lorsqu’il s’agit d’un débat politique. J’ai plus un problème avec le nationalisme, les attentats, les impôts révolutionnaires, ceux qui disent colons au lieu de continentaux...
Sincèrement je n’ai jamais regardé jusqu’où remonte les origines corses de ma famille, mais d’après les vieux on descend entre autres de Sampiero Corso... comme quoi ces histoires de corse, d’italiens (génois), France remonte de loin.
"il est hors de question, sous prétexte d’humanisme ou de démocratie
d’accepter comme citoyens Corse a part entière , tout ceux qui
désireraient vivre en Corse, nous serions vite un peuple en voie de
disparition !«
Il faudrait que vous revoyez les notions d’honneur qui font »un corse« . Une des première que l’on m’a enseignée est l’hospitalité, ou alors le courage de reconnaître ses actes (donc de ne pas accepter la clandestinité).
Pour moi est »plus un corse« celui qui respecte les valeurs de nos traditions, que certains qui font honte à nos règles d’honneurs tout en voulant »défendre" la nation Corse.
Et quand je vois tous ces descendants d’italiens crier haut et fort qu’ils sont plus corses que tous les autres et qu’ils défendent la nation Corse, je ne sais pas si je dois rire ou pleurer.
Alors qu’il y ait des durées du travail, des âges départ à la retraite, donc des seuils n’est pas inconvenant. Une société organisé n’est pas une société dans laquelle chacun fait se qu’il veut.
Si un salarié rechigne à quitter un travail qu’il fait avec plaisir pour un départ à la retraite rien ne lui interdit de le poursuivre bénévolement dans le monde associatif.
D’accord j’aime mon travail et celui-ci est en quelque sorte ce que je suis...
Même si je suis d’accord que l’âge de la retraite soit fixé par la loi (et que logiquement cette limite doit être fixé en fonction des capacités financières a payé les retraites), je n’accepte pas que l’âge de la retraite soit imposé. Autour de moi, et certainement autour de vous aussi, il y a des personnes qui vivent leur retraite comme un calvaire car leur travail était aussi leur raison de vivre (très proche de moi, décès après moins de 6 mois de retraite).
Pou ce qui est de l’engagement dans la vie associatif, je le fais déjà et j’investis une bonne partie de l’argent gagné par mon travail dans l’association.