« La nature de la perception est de reconnaître les choses diverses, et d'exprimer les choses vues, entendues, conçues et celles dont on se souvient. » (Walpola Rahula)
« On a deux vies, et la deuxième commence le jour où l'on se rend compte qu'on n'en a qu'une. »
(Confucius)
« S’il y avait une seule vérité, on ne pourrait pas faire cent toiles sur le même thème. » (Picasso)
Savez-vous ce qu’est l’homophonie ? Ou l’holorime ?
ET la paranoïa-critique ?
J’ai pris le temps de lire votre billet, l’intégralité des échanges, de me renseigner sur vos travaux, de vous faire la démonstration de cet état, et vous, vous me remerciez pour ma poésie, et me souhaiter bon courage pour la situation que je traverse, alors que ceci était discrètement plongé dans les flots de commentaires et d’échanges avec Nabum, et vous le mettez au grand jour.
Je vous invite à pratiquer une profonde remise en cause de votre jugement et perception des choses, car de toute évidence, votre personnalité et votre égo brulent vos yeux.
Je suis attristé par de telles manières, mais vous pardonne d’avance, et en quelque sorte vous remercie, car oh grand jamais, je ne m’attarderais plus à lire vos billets.
Ceci dit, il n’est jamais trop tard pour comprendre ses erreurs, et les corriger...
Voilà qui est fait, montre en main, je ne sais pas vraiment combien de temps cela prend, mais voilà qui est fait, un état de conscience modifié, en toute confiance, et je jure sur l’honneur, pour ceux qui y croit encore, que cet état est sincère, de ma propre volonté, créativité, en toute originalité, sans la moindre substance absorbée, sauf un thé vert, peu sucré, de marque que je n’ai pas le droit de citer, question de publicité.
Je vous livre donc le fruit de cet état, de ma pensée, à une heure bien avancée, et me voilà bien avancé.
Je vous le livre, vous le laisse, et vais me coucher.
Il s’agit d’un texte homophonique, complet et parfait, pas juste des bouts de mots qui se ressemblent sur le son, mais bien une double pensée, avec un double sens, en deux textes intelligibles, mais au sonorités emboitées, dont je ne publie cette nuit qu’une seule des versions.
Pour ceux que cela intriguerait, je propose d’en publier l’autre version demain, ici même, mais à une heure bien moins nocturne, laissant à ceux qui le désirent, le plaisir de chercher, de découvrir.