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Phi ka Sō

Phi ka Sō

«  La nature de la perception est de reconnaître les choses diverses, et d'exprimer les choses vues, entendues, conçues et celles dont on se souvient. »
(Walpola Rahula)
 
«  On a deux vies, et la deuxième commence le jour où l'on se rend compte qu'on n'en a qu'une. »
 
(Confucius)
  « S’il y avait une seule vérité, on ne pourrait pas faire cent toiles sur le même thème. »
(Picasso)

Tableau de bord

  • Premier article le 06/05/2013
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Derniers commentaires



  • Phi ka Sō Nathael Dunevy 19 mai 2013 23:01

    Le syndrome Camille expliqué aux (grands) enfants.

    Sous titre long d’une lettre courte, d’une élève mal élevé à son bon professeur.


    Votre sagesse n’a d’égal que ma faiblesse de femme fable. Je compte sur l’homme pour raconter, même si le bas blesse, la couleur de l’étable que vous cher Nabum, aviez dressé en dessous de table. Vous avez trop soupé des mes « mais », des mes mets trop salés imbuvables, il fallait donc couper la paille de Mai, avant la fin du mois, coupant court à la faim du « Moi ».

    Le ruban sourd tissé de soie est devenu suant, lourd et brisé du « Soi ». Ainsi soit-il pour le fil si fin, le fil de l’histoire aux cents fruits amers qui s’enfuit. Ferons-nous bon usage, du bonus blanc de l’ânesse au bonnet monochromé que je suis ?

    A tous les intervenants du dernier moment, je présente mes remerciements sans couleur, je vous écris noir sur blanc depuis mon banc, que je fus et suis encore touchée à cette heure, par les commentaires sincères et troublants, que vous témoigniez à mon ancien professeur.

    Que dire hélas de la déception que j’ai crée en celui, qui en moi mis tant de mois en douceur, à éveiller le sens insoupçonné du mot « émoi » ?

    Et moi du haut de mes 16 ans, Camille La vulgaire, indomptable et mauvaise élève sans aucune classe, j’ai renié l’enseignement loin d’être primaire, j’ai bafoué, moqué et perturbé indignement, toute une classe.

    A l’école de la vie j’ai souffert, à l’école de l’écrit j’ai découvert la raison, et les raisons à venir. Mais à l’école buissonnière, mon décolleté bien garni j’ai couvert d’excuses, pour à l’école ne plus venir. Mon bulletin de vers s’est diversifié en météo sombre et orageuse, et vu le temps présent, je trinquerai au futur avec mon bel écriteau :

    « Le passé se représentera à l’instant ». Santé aux trois thés de la phrase.

    Voilà, c’est bien peu que cela, mais c’est bien là l’impôt à payer à mon percepteur, mon ancien professeur. Mon séjour en Segpa n’aura an duré qu’un seul pas, quand mon enseignant à endurer en saignant, mes incommensurables erreurs.

    Camille.



  • Phi ka Sō Nathael Dunevy 19 mai 2013 22:47

    C’est Nabum
    .
    Point de chanson, une phrase homophone en son hommage.



  • Phi ka Sō Nathael Dunevy 19 mai 2013 22:42

    C’est Nabum
    .
    Aucune négligence ressentie, pourquoi dont ?

    44 réponses en attente, voilà tout.

    Quelle doit être douce la dominicale navigation,

    Loin des pollutions et des égouts.



  • Phi ka Sō Nathael Dunevy 19 mai 2013 21:24

    C’est Nabum

    Sans la moindre camillité,
    .
    .
    Si Camille avait une réponse à donner,

    A son ancien professeur et aux intervenants,

    Aurait-elle un droit de réponse accordé,

    Ne serait-ce que dans un commentaire participant ?



  • Phi ka Sō Nathael Dunevy 19 mai 2013 20:29

    Un film en 5 D  : « L’audition de Camille Laveudet, la vedette, l’aveu dette. »

    Au cinéma des bas-quartiers de Camille.

     .

    Pourquoi les vedettes ont-elles ainsi toutes le ticket ?

    Because c’est pour une bi-cause.

    Comment se fait-il que le cadreur soit toujours hors-champ ?

    Pour ne jamais rater le bon angle.

    Qu’est-ce qu’elle a ma bobine ?

    Elle est ici tissée.

    Peut-on décerner la Palme d’Or à un film tourné en contre-plongée ?

    On peut en tout cas tourner un fil d’or sans plomb aux palmes.

    Pourquoi le monteur n’a-t-il pas les honneurs des marches du Palais ?

    Parce que les eaux pales montent quand le déshonneur leste le jonc, et le bonni moteur prend le haut, car le grognier-menteur sans effort homofloire, écrit « feux » sans « f » hors au mot « floire ».

    Pourquoi parle-t-on de distribution alors que rien n’est gratuit ?

    Parce que tout est district, tout ce qui est bu a un prix.

    Dans un film d’espionnage, peut-on doubler un agent double ?

    Sans cesse, parce que le doublage est un trou blanc comblé.

    Que faire si le cadreur ne peut pas supporter un acteur ?

    Faisons-lui porter sur l’heure un acte recadré.

    Arrivera-t-on à soigner et libérer le fondu enchaîné ?

    Qui sait qui c’est ? Au fond la liberté du fou arrive-t-elle à l’âge, pour libérer les auteurs des chaînes la nage.

    Champ contre champ : Peut-on parier en ligne ?

    Alignez donc le pari, on chantera sur le champ à Paris sur les Champs, et je n’ose écrire l’homonyme, bien qu’il ne soit allégeant sur les chants de Paris, ça ferait un peu sur-léchant.

    Le plan américain a-t-il été inventé par Marshall ?

    C’est d’un garage anglais que fut américanisée cette invention rock’ n rollex devenue, allumons l’ampli. Mais la question ici est plutôt de repérage, le plan du quartier histoire de mieux cibler l’auteur du crime.

    Pourquoi ne pas commencer par le générique de fin pour qu’il soit enfin lu de tous ?

    Pas sur que le jeune public comprenne en fin, le début génèrera pourtant le ludique de l’histoire.

    La censure contraint-elle l’image à rester dans le cadre ?

    Pas si on encense la contrainte à rester hors cadre.

    Faut-il couper avant la distribution ?

    La coupe est pleine de raisons déraisonnables, c’est au montage que sont les sages.

    Peut-on se figurer la frustration du figurant ?

    Ca reviendrait à mettre un voile sur le voile dévoilé

    Pourquoi fait-on tant d’histoires pour ce scénario ?

    Car la Seine ne découle pas à Rio.

    Comment définir un réalisateur qui ne s’est jamais réalisé ?

    Comme bien des fous créateurs qui sont toujours des réels attiseurs.

    Le sous-titre n’est-il qu’un manant ?

    Tout dépend de ce qu’il en émane.

    Quand le mixage est raté, le son est-il de la bouillie ?

    C’est au dépend de la température, à 90 degrés l’eau mixée fait son cinéma.

    Faut-il toujours compter sur l’opérateur ?

    Il y a des opéras dont le conte n’est toujours juste envers les acteurs

    Faut-il s’arracher les cheveux si le numérique annonce la fin des pellicules ?

    On n’a peut-être pas de pétrole, mais « What a man », on a un champ de poings.

    Mais pourquoi me tend-il toujours une perche ?

    Parce qu’il aurait peur de couler, parce que la peur de perdre pieds, à moins d’un mettre.

    Existe-t-il des écrans de fumée pour les films de guerre ?

    Guère de feu dans fumée ni d’omelette sans casser les creux.

    Pourquoi dit on aussi « Action » pour les films intimistes ?

    Parce que l’intimation ici, est le fil acté d’une filiation sur un fil.

    Faut-il mettre la lumière sur les films noirs ?

    Encore mieux, taillons-lui la route d’un costume un arc en ciel.

    Depuis la loi sur le mariage pour tous, les films de genre ont-ils encore leur place ?

    Aucune place pour le genre, la loi de la guerre a depuis longtemps mariée les debout.

    Un groupe peut-il être chargé de la bande son ?

    Un seul tout peut-il s’en abonder ?

    Bruitage et mixage sont-ils les deux oreilles de la bande son ?

    Tirer parti du meilleur pour une bande bien sonnée, le mixeur ébruiteur.

    Pourquoi ce film muet a-t-il fait tant de cartons ?

    Parce qu’une partie du public joue aussi le rôle de figurant, l’autre est bien averti, et l’autre c’est la loi du 90-9-1.

    Faut-il regarder les films d’amour que dans les salles munies d’un balcon ?

    D’un bal con nait parfois l’amour salit d’un regard mal filmé. 

    Un acteur fait-il son cinéma en dehors des heures de travail ?

    Un acteur ne connait pas la grève, il est un cinéma à guichet ouvert.

    Que devient un tournage pendant une panne de moteur ?

    Un bon moyen de relire le scénario, malheureusement on ne peut corriger, les droits sont déjà payés.

    Une star peut-elle avoir les pieds sur terre ?

    Vu de la lune il y a  plein d’étoiles, mais le prix n’en n’est pas un.

    Quel est le classement de la doublure du jeune premier ?

    Elle est parfois surclassée.

    Un mauvais tirage produit-il du CO2 ?

    Il fera toujours un bon bol d’air.

    Peut-on repiquer le son d’une doublure ?

    On peut sans cesse améliorer, mais sans redoubler de censure.

    Que deviennent ceux qui sont partis en repérage ?

    C’est une question pataugeoire, à patauger de chaines dans la marre aux les canards.

    L’ouvreuse est-elle de mèche avec l’éclairagiste ?

    Dans cette réplique sans mèche, de l’œuvre est complice le vrai supplice.

    Que deviennent les acteurs qui sortent du cadre ?

    Ils donnent du poil à l’action.

    Un dialogue peut-il être sans réplique ?

    Pas un dialogue accentué d’homophonie, sans tuer personne.

    Les effets spéciaux sont-ils parfois spécieux ?

    L’espace d’un espace   est passé ?

    Pourquoi les navets n’ont-ils pas assez de fans ?

    Parce qu’ils n’ont pas assez cuit.

    Est-ce pour qu’ils durent plus longtemps qu’on fait des reprises de succès anciens ?

    C’est bien souvent par nostalgie, mais en ces temps de silence radio, mieux vaut faire peau neuve.

    Peut-on se faire un film sans caméra ?

    Film, livre, chanson, peinture…, tout commence dans la tête : la caméra est un œil et teint les couleurs, et tient l’esprit haut le fil en étain, puis s’endort enfin le film éteint.

    Combien de questions sont-elles dans la boite ?

    Précisément 45, mais l’art n’est pas la question.

     

    Clappement de faim.

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