Phi ka Sō

Nabum

« Je vous parlerais bientôt de vous,

Dans un billet doux. »

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Vous êtes un Génie mon ami !

Ingénu, c’est peau dure contre poul mou,

Habiller ainsi, tous propos d’antre à vie,

J’en fais « L’avenue d’être à genou. »

Nabum
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« Alerte à l’intrus, dans cette alerte à la crue » ôté !
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Personne donc n’y a vu, le cri de l’alerte,
qui pourtant n’est pas crime, au raz des pâquerettes.
Pas d’alerte à la bombe, juste une ronde dans l’eau,
qui évite de faire vague, voilà dont le faire part :

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« Alerte alla crue ! », en moins grand de l’âge je l’ai su,
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« Alerte ! Hala cru ! », en tout petit halage, je l’ai dis.
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Or, mais Jeanne ne l’aurais jamais dis de si tôt,
A l’oreille de cito, hâle hors aussitôt,
Alors hey, hein bon...

Nabum
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Je suis surtout bretteur sur gage,
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N’engage que moi dans cette barque,
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Barquée d’une ancre sous langage,
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Languette encrée et en plein dark.

A deux fois seize ans, à ce jour,

à vos souhaits tous jours...

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...Après cet aveu dernier billet :

 .

Je n’en dors pas, ce « hic » m’atteint.

Si un moment, j’ai pu être offensant,

J’en suis bien triste, un gros chagrin.

Car si tourment il y a, c’est retournant

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A mes bons jours, qui ne seront hélas,

Qu’un mince au revoir. Ainsi va la vie,

Approché de la mort, abrogé de l’âme hors.

Un « sur » si, voile à vie, un sûr pas si sur de survie.

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Alors au projet de fâcher, je veux être le dernier,

Je confesse à tordre, que ma peur de LA première,

A la date savamment orchestrée, ça va m’en clouer !

Du bec à la boite, plus un mot d’où est le comté de Pierre.

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Voilà Nabum, voyez là ami,

Cette vérité sans son,

Sept vérités à raz crochet,

Condamné le dont.

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Je ferais meilleur usage,

Des mots moribonds,

Je serais lien sage,

Jusqu’au grand bond.

Oui mais, à vingt ans…

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Maintenant que le chemin de ma vie

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se trouve confronté à mes rêves, je

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devient celui que j’imaginais

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toujours étant enfant. Et même si

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parfois, au plus profond de mes désirs,

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j’aspire à des choses très personnelles,

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je ne veux pas voir mon destin guidé par des

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roses qui ne sont pas mes propres

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rêves, car je n’écris mon histoire qu’au travers de

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mes songes, dans lesquels je me perds souvent

.

moi même.

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Une ligne encense le rêve,

Une ligne sur deux, révèle le sens.