bonjour et merci à vous et à Martin pour cette réponse en votre qualité de producteur mondial de soins de synthèse de l’agrochimie moderne. Il est intéressant de prendre connaissance de vos remarques et que nous puissions échanger compte tenu de notre intérêt mutuel pour la qualité de l’environnement, de l’emploi et du tourisme aux Antilles.
Je vous suis reconnaissante d’être sensible à ma modeste prose c’est pourquoi je vais reprendre les éléments de votre réponse afin de préciser mes propos et les développer dans un prochain post. Cependant, je tiens à préciser que dans toute forme de communication, de langage, d’échange, il existe 2 types de rhétoriques : celle des sophistes et celle de ceux qui parlent vrai. Le sophiste peut tout dire de tout. Le lobbyiste des temps modernes est un peu le sophiste du monde de Platon. Je vous informe d’ores et déjà, avoir à présent réservé mon déplacement pour la Martinique très prochainement. Je suis toujours à votre disposition pour apporter de bonnes nouvelles aux corporations de pécheurs et d’entendre leurs voix. Bien cordialement.
déjà dans certaines enseignes commerciales, les rayons sont prêts : le roundup y est présent en tout format même bidon. Glyphosate, fongicides, herbicides, phytosanitaires de tout bord sont tous en place. Je me demande vraiment si le mot « pesticide » est assimilé à « phytosanitaire » à « soins » ? je crois que la plupart des acheteurs sont toujours ignorants. Le mot « pesticide » n’est pas compréhensible pour tous et les emballages ne permettent pas de décoder les produits et leurs dangerosité - pourquoi arrivent-ils toujours dans tous les magasins ?
peut être que ma lettre est un acte puisque je propose à Syngenta quelque chose de concret. Ce ne sont pas que des paroles, s’ils prennaient la décision de stopper le paraquat , j’irai en personne apporter l’information. (sauf si c’est pour remplacer par pire)
car le paraquat est encore pire que le chlordécone