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nemo3637

nemo3637

Grand voyageur métèque, un peu aventurier. A travaillé comme planteur d'arbres au Canada et comme enseignant et déchoukeur au Mexique et dans les Antilles.
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  • Premier article le 23/09/2008
  • Modérateur depuis le 24/02/2009
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Derniers commentaires



  • nemo3637 nemo3637 2 février 2009 05:18

    Très bien euh...je veux dire très mal...
    J’y retrouve mes arguments. Bravo et mer ci Lloyds.
    Enfin n’hsitez pas à aller lire mon article en Tribune Libre "Il cause...il cause" - c’est de Sarkozy que je parle - car j’y formule quelques propositions pour réorganiser la société en ces temps décisifs.



  • nemo3637 nemo3637 30 septembre 2008 23:15

    C’est vrai qu’on ne peut pas parler d‘« un échec » du capitalisme. Par contre le capital n’est plus investi de manière prioritaire dans la production de richesses, mais dans des opérations spéculatives. Et à ce titre on peut parler d’une dégénérescence puisque c’est le capital lui même qui devient en surproduction.
    Où investir ?
    En 2001-2002, au moment de l’éclatement de la bulle internet, les pertes s’étaient établies à 148 milliards de dollars. C’est d’ailleurs à la suite de cette déroute que les fonds spéculatifs avaient été formés pour ensuite être portés sur l’immobilier. La crise dite des « subprimes », d’après les chiffres du FMI, aurait, à elle seule, occasionné plus de 1000 milliards de dollars de perte. C’est l’équivalent de la dette publique accumulée de la France.
    Comment les états - notamment la France - financent-ils les banques en difficulté, alors que peu de temps auparavant "il n’y avait plus d’argent dans les caisses" ? En creusant un peu plus leur endettement fabuleux - 9000 milliards de dollars pour les Etats-Unis, 1309 milliards pour la France, en 2006 - qui a aujourd’hui atteint une limite.
    Croire que la crise actuelle est uniquement financière, qu’on trouvera éternellement du crédit, que la crise économique qui suivra ne sera que passagère, qu’il s’agit d’un simple équilibre à retrouver, est une douce utopie que berce les farouches défenseurs du système capitaliste. Ils en sont aussi dépendant idéologiquement qu’on pouvait l’être lors de l’impossible chute de l’Empire Romain.

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