Reflexion intéressante et agréablement formulée.
Entre raison et déraison où est la frontière, qui de surcroit change de position au fil du temps ?
Et un avocat habitué des médias devient un « brillant » avocat pour une journaliste. Les raisons pour l’utilisation de ce qualificatif peuvent êtres nombreuses, mais même un journaliste hétéro l’aurait formulé ainsi car par définition les journalistes ne peuvent pas se fourvoyer à s’intéresser à un « mauvais » n’est-ce pas ?
Pour le plan B demandez à Fabius qui n’à pas hésité à légitimer une impasse totale le Non, et à renforcer les anti-européens pour tenter de se placer dans la course à l’investiture du PS (avec le succès que l’on sait, 3ième sur 3)