Nicolas Pascuttini

à L’auteur,

Merci pour cet article qui ne manque pas d’humour...

Je crains que vous n’ayez raison, le mois de mai 2008 sera sans nul doute le théatre d’affrontements politico-médiatiques particulièrement violents (sic)

Quant à l’appropriation d’élément historiques par les médias et le politique, ce type de phénomène perdurera malheureusement tant qu’il sera rentable, en terme d’audimat ou de crédibilité...

détrompez vous, le hard rock est toujours très populaire auprés des jeunes (dont je fais parti) mais nettement moins médiatisé qu’il y a encore quelques années...

Je n’ai pas la sensation que les floyds ou led zep soient moins populaire que jerry lee lewis, mais on pourrait attribuer cette nuance au fait que se soient des trips à l’écoute plus difficile... Que dire alors des groupes de métal !

à l’auteur,

Merci pour l’article, çà fait toujours plaisir d’entendre parler de bonnes vielles références. Pour ma part, j’ai toujours préféré le premier opus, plus authentique, plus heavy, sans pour autant oublier ses influences blues : il suffit d’écouter un dévastateur Communication breakdown, ou le lancinant Dazed and Confused pour entrer litéralement en transe....Le manifeste du hard rock, en quelque sorte..

Le dirigeable en éclipserait presque ses comtemporains qui eux aussi faisaient alors parler la poudre, je pense au Jeff Beck Group, avec Beck Ola, ou encore au Stooges avec Fun House... à écouter absolument !

à NPM

« Donc, vous admettez que vous êtes un traitre, un ennemi de l’Etat donc du peuple français et de la France. Fumier. »

Jusqu’à preuve du contraire nous nous trouvons dans un état où chacun de ces citoyens (dont vous et moi faisons partie) possède un certain nombre de devoirs, mais également de droits.

Notamment le droit d’exprimer son opinion, quelle quel soit, à partir du moment où elle ne contient aucun propos diffamatoire, infamant, raciste , xénophobe

Le droit également à la dignité et au respect

Je respecte les lois républicaines et accomplit mes devoirs de citoyen par conséquent j’estime pouvoir exprimer ma pensée, même si elle se révèle en contradiction avec les considérations de l’état.

J’estime également ne pas avoir à supporter les insultes dont vous me gratifiez avec le courage percutant qui vous caractérise, une fois camouflé par un pseudonyme....

Auriez vous un tant soit peu d’à propos et de jugeote que vous vous excuseriez....