La sélection par internet de musiciens pour constituer un orchestre symphonique est quelque chose qui me dépasse totalement. Professionnelement ça ne vaut rien, ce n’est rien d’autre qu’un énorme coup de pub pour faire parler d’un évenement unique. Certe c’est un évenement sympathique, mais cela ne reste qu’un évenement unique, solitaire et déja oublié.
Ce qui est vraiment utile, c’est le travail de fond auprès des publics sur le plan local et international, et cela seuls les orchestres implantés dans la cité ou le pays peuvent le faire . Le youtube orchestra c’est un peu comme andré rieux, l’arbre derrière lequel on cache la forêt, l’alibi culturel du gandin qui ne va jamais au concert et qui se gargarise bruyament du dernier coup médiatique.
Dommage que nos médias chéris ne se focalisent pas plutôt sur les orchestres français presque agonisant comme celui d’Avignon, ou ceux qui licencient comme aux Etats Unis ou ceux qui recrutent et qui tentent de se faire une place comme celui de Doha.
Si Morandini l’a dit.... ça me fait penser à ces fillettes qui citent Laurie ou Alysé (je sais pas comment elles écrivent leur pseudo ces deux là ! j’ai la flemme de sortir le moteur de recherches)
Citer Morandini... remarque, soyons con, bien pensant et tolérant... pourquoi pas ?...
En lisant la réaction pleine de tolérance et d’intelligence de « roungalashinga » qui dégaine le mot « nazi » au bout de six mots, on se dit que le lavage de cerveau des féministes décrit par l’auteur a fini par toucher violemment les hommes. Et visiblement concernant ce lecteur il a fait de sacrés dégâts... Un monde sans pénétration, sans grossesse, sans élever ses enfants... tiens, cela me rappelle un bouquin souvent cité dans les commentaires.
Mais quelle tristesse ce tableau que vous nous peignez... un univers de couveuses et de pompes à sperme... ça m’ôte définitivement toute envie de vasodilatation !
Mais une question (perfide) : qui donc éduque les femmes et les encourage à devenir de parfaites « petites dame » ? On les voit jouer à la working girl avec des string dès 11 ans achetés par maman mais qui poussent la poussette et aident la même maman à faire la quiche lorraine du dimanche soir. Et qui ensuite les pousse d’abord à étudier comme des malades et qui ensuite les font chier chaque dimanche parce qu’elles ne sont pas encore mariées, qu’elles ont encore changées de petit copain, ou qu’elles ne sont pas plus enceinte que la semaine précédente ? Les femmes elle même ne savent pas ce qu’elles veulent et jouent de façon maladroite et sans logique sur les deux tableaux.
Et toujours en faisant passer les hommes pour des brutes inutiles et nuisibles. (Lisez les magazines pour adolescentes lobotomisées, ou les hommes sont systématiquement surnommés « Jules »)
Mais comme les hystériques des droits des homosexuels, ou des cul de jattes, ou de n’importe quelle communauté revancharde, ils creusent eux même leur propres tombes. Les meilleures révolution sont celles qui se font lentement et en silence. Ce n’est sûrement pas les hurlements et les vociférations d’Alonso et de sa cohorte de « chiennes de garde » (quelle horreur, comment on peut se revendiquer en ces terme), ou bien les quotas ou autres parités non respectés qui vont aider ces povres femmes victimes éternelles du méchant homme qui pense avec sa quéquette.
Maintenant qu’elles sont bien implantées aux postes de commandes des entreprises, dans les RH et dans les syndicats et les entreprises public, ainsi qu’à pas mal de postes clef (même si la parité n’est pas encore là) pourquoi par elles même elles n’égalisent pas les salaires, elles n’encouragent pas les femmes à des promotions ou à s’engager en politique ? Elle est ou cette légendaire solidarité féminine ? Chaque fois que j’ai approché ces univers féminin dans l’entreprise, ce n’est que ragots, croche patte, placardisation par les femmes pour les femmes.
Donc Ta Gueule Alonso et que les femmes se décident sur la place qu’elle veulent avoir dans la société moderne post 11 septembre (je sais ça n’a rien a voir, mais la phrase a un côté Dantec que je trouve ludique décalé et plaisant) et qu’elle change elle même ce qui doit être changer. Les hommes s’en foutent, et ils ne feront rien.
Moi je m’en fous aussi (je suis un homme, c’est normal je pense avec ma quéquette), du moment que je peux continuer à pénétrer ma femme, que je peux élever mes gosses et que ma femme puisse évoluer professionnellement comme elle le souhaite (ce qui a été seulement le cas en quittant la France).