Bien vu Henri Diacono alias Henri François. Je me suis fait la même réflexion et je suis arrivé à la même conclusion que vous : Israël déteste les pauvres car les pauvres ne lui rapportent rien. Pendant que cet état demande deux minutes de silence pour les rescapés de la Shoah, ces mêmes rescapé n’ont jamais autant crevé de faim. Même Slate (pas spécialement antisioniste) le dit : http://www.slate.fr/story/53609/pauvrete-rescapes-shoah-israel Tout vient à se savoir...
@ Armand, c’est vous qui parlez de dignité ? Des enfants qui n’ont rien demandé se font récupérer par la propagande sioniste, c’est digne ? Si je me fais assassiner, ça fera une ligne dans le journal local à la rubrique des chiens écrasés. Mais si je porte la kippa, ça devient une affaire d’état. Pourquoi les militaires assasinés ne se font-ils pas enterrer au Vatican ou à la Mecque ? De quoi se mêle Israel dans cette affaire ? Est-ce bien digne ? Par contre, les bombes au phosphore, les démoltions de villages palestiniens à coup de bulldozer ou les enfants palestiniens assassinés par l’armée israélienne, silence radio. Un meurtre d’enfant juif c’est forcément un complot anti-israélien, c’est forcément plus grave que d’autres morts....
Tuer un militaire Arabe ou Noir, c’est un simple fait divers qui n’émeut personne, c’est presque normal. Tuer un Juif c’est un attentat anti-israélien, les heures sombres de l’histoire et Mozart qu’on assassine. Ce deux poids deux mesures sur fond de pleurniche est obscène et gerbant.
Est-ce normal que l’on ne trouve pas scandaleux que l’on se fasse tuer
aussi facilement sur une autoroute ? D’après la prévention routière,
l’espérance de vie d’un piéton sur une autoroute est de moins d’une
minute. Ca n’interpelle personne ?
Non. Il faut être complètement à la masse pour confondre la traversée d’une autoroute (de nuit) avec la promenade des anglais de Nice ou les Champs Elysées de Paris. Quant à la réaction des parents qui consiste à demander des indemnités à la SNCF, c’est le comble de l’indécence flanquée d’irrresponsabilité, c’est à dire le triomphe de l’assistanat et de la démotivation éducative.