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nightflight

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Un citoyen ordinaire.
Bon sang que le monde va mal !
Avec la responsabilité civile qui est la mienne, si j’avais eu l’audace d’être un des auteurs du système financier mondial actuel, j’aurais été assigné en justice par mes donneurs d’ordre, et j’aurais fini ruiné et en taule.
Comment peut-on concevoir une organisation aussi instable que notre économique ? Existe-il des normes, des modèles aboutis qui ont été testés avant d’être mis en exploitation, mais bon Dieu où sont les concepteurs de ce merdier ?

Tableau de bord

  • Premier article le 06/04/2009
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Derniers commentaires



  • nightflight nightflight 3 janvier 2009 13:14

    On pourrait ajouter que peu de gens ont noté que la croissance de ces dernières années était tirée par l’immobilier.

    C’est bien joli qu’un indicateur économique se porte bien, mais lorsqu’en une décennie on voit les durées de remboursement des prêts augmenter aussi allègrement, il faut bien finir par constater que le système lèse largement la masse des consommateurs.

    Sans exagérer, on peut affirmer que ce phénomène relève d’une irresponsabilité politique.



  • nightflight nightflight 1er janvier 2009 23:36

    Vous dites, en abordant un aspect logique lié à la circulation de l’argent, que Paul Grignon "Tombait dans cette même erreur de raisonnement".

    Dans son film d’animation, PG insiste surtout sur le mécanisme de "L’argent Dette", où les banques créent l’argent électronique lors de l’émission d’un prêt.

    Le problème qu’il soulève, est alors celui de la possibilité de créer une institution bancaire (Aux Etats Unis), avec un faible capital de départ, et de pouvoir ensuite "Créer" un argent fictif, correspondant aux montants des prêts accordés.

    L’emprunteur (Non banquier) devra rembourser sa dette à l’aide d’une création de richesses réelles (Le produit d’un travail).

    La mise en correspondance de l’activité de la banque, avec celle de l’emprunteur, met en exergue le fait que d’un coté on puisse créer de la richesse à partir de rien, et que de l’autre on ait une activité bien concrète qui se matérialise par des heures de travail, des investissements, etc.

    Un autre aspect du film, porte sur l’histoire de la banque, qui est, on le constate, bien peu glorieux.

    Finalement, Paul Grignon met en avant dans son œuvre un ensemble de concepts qui échappent aujourd’hui au commun des mortels, et qu’il est donc bon de rappeler afin que chacun puisse s’en instruire.

    Je vous trouve donc bien injuste avec lui.

    NF

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LES THEMES DE L'AUTEUR

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