« Il n’y a aucun problème avec les femmes tant qu’il n’y a pas concrétisation. A partir du moment où il y a concrétisation sexuelle, les distances sont abolies et les deux personnes, c’est-à-dire la femme ou l’homme, se permettent des choses sur ton intégrité, c’est-à-dire qu’ils exigent – « Tu m’as tiré(e) donc tu vas être au garde-à-vous ! » Tant que tu ne couches pas avec quelqu’un, ton indépendance est totale. Dès que tu couches avec quelqu’un, c’est le cas de le dire, t’es niqué ! Ce n’est pas toi qui niques, ça c’est bête de penser qu’on nique, on est niqué. Quand on couche avec quelqu’un qui a un dessein et un projet particulier, si t’es pas vraiment d’accord avec son projet, t’es niqué en la tirant. »
Oui, des mots, Olga... de simples mots... Parfois si forts et si beaux... Méfions nous du pouvoir des mots, de l’illusion qu’il nous donne, d’être, pour quelques instants, et quelques instants seulement, projetés dans la lumière...
Alors que nous sommes des êtres humains, avides de contacts, de sons, de parfums.....
Serais-je moi aussi d’humeur morne, aujourd’hui ????
Je le crains.