Vous n’êtes pas prêt pour la conclusion de cette réflexion. Du votre « public » « ouvert », non-a « Bulletin secret ». Mais, qu’il n’y a aucun algorithme actuel sans faille, oui !?
L’intégrité de la majorité des électeur et l’abondance de dépouilleurs et d’observateurs de partis différents, et ce que nous avons de mieux.
Ne vous faites pas baiser sur l’addition. Ne vous faites pas baiser sur le transport, ne laisser aucune urne sortir du champ de vision de dizaines de personnes, jamais.
Les machine a voter n’aurons jamais aucune légitimité, elle peuvent oublier qu’elle ont triché, par nature. Essayer de négocier ce point est vain.
Faire des sondages et de la consultation publique online trois fois oui ! Mais avec des mots, des lettres, et une liberté d’expression militante garantie par la loi !
Un droit pour les citoyen, de publier, officiellement, genre LiberteExpression.gouv.fr, tapez votre code secret des impots, écrivez votre truc. Paf c’est officiel.
« Au delà de tout, dans le fascisme, il existe un sentiment du monde, un certain style de vie, une approche particulière de l’existence. Dans le fascisme, il y a, avant la politique, une dimension esthétique, symbolique et existentielle, il y a un certain savoir faire aristocratique voué au peuple, qui fait décanter l’esprit en cultivant le corps, qui porte en triomphe la mort en vivant pleinement sa vie, qui expérimente la liberté au sein de la communauté.
Être fasciste, c’est une chose presque indéfinissable, un quid, un mélange d’activisme, de jeunesse, de combativité, de mysticisme.
Être fasciste, c’est avoir une allure sobre et décontractée, tragique et solaire, c’est posséder une volonté de grandeur, de puissance, de beauté, d’éternité, d’universalité. C’est adhérer à une logique de fraternité, de camaraderie, de communauté.
Être fasciste c’est avoir conscience d’une destinée et avoir l’ envie éhontée de l’affronter, avoir la capacité de vivre pleinement dans la bande, dans l’équipe, dans le clan et de savoir élever ce lien au niveau de la nation et de l’empire.
Être fasciste, c’est avoir 17 ans pour toute la vie. C’est se dépasser, c’est donner forme à soi-même et au monde.
Être fasciste c’est jouir en scandalisant les moralistes, les sépulcres blanchis, les vieux perruqués. C’est cultiver la radicalité dans le pragmatisme, ressentir le dégoût pour la décadence et la petitesse d’esprit, tout en sachant vivre dans son temps, goûter à la modernité, puiser dans l’enthousiasme faustien pour la modernité.
Être fasciste, c’est avoir pour compagnons, au-delà de toute complication cérébrale le feu, le marbre, le sang, la terre, la sueur et le fer. C’est parvenir à faire vibrer ses cordes intérieures sur la fréquence des plus humbles tout en refusant l’adulation, l’indulgence, la démagogie et la prostitution intellectuelle. N’avoir de la nostalgie que pour le futur ! Le fascisme c’est fonder des villes, assainir des terres, porter un projet de civilisation. C’est concevoir l’existence comme une lutte et une conquête, sans ressentiments. C’est faire don de soi aux camarades, à sa nation, à son idéal, jusqu’au sacrifice extrême. Oui être fasciste c’est tout cela avec, en plus, un style, une idée de l’esthétique, un goût pour le décorum. C’est être élégant et souriant jusqu’à l’échafaud et au-delà. »