J’ai placé un héritage de 40 000€ dans deux DAT du Credit Agricole qui me rapportent brut 1 749€ par an s’ajoutant aux 14 812€ brut de ma retraite, ils me situent dans la tranche des 14%. Soit un total imposable de 13 080€ et pour la totalité de impôt toutes déductions faites automatiquement par le fisc, je paye annuellement 455€.
Sur le versement de mes 437€ d’intérêts du premier trimestre 2013, la loi de finance ayant changé sans que nul ne m’en ai averti, la banque me retient pour le fisc, un acompte de 14% soit 105€. Le banquier m’explique que cet argent me serait « remboursé » en 2014, que le gouvernement aux abois a tout fait (avec la complicité des banque ?) pour que tout cela se passe dans le silence pour les agneaux mais qu’en revanche mes revenus étant en dessous de 25 000€, je pouvais prétendre à l’exonération des acomptes futurs si j’en faisais la demande avant le 31 mars.
Bien entendu les acomptes déjà versés ne seraient remboursés que dans près de 2 années probablement sans porter d’intérêt. Et cerise sur le gâteau, par le biais des virements habituels, je me suis retrouvé à découvert aujourd’hui de 85€.
Non seulement ils ne m’ont pas informé de ce qui pourrait s’appeler du racket où du vol si l’on veut mais en plus ils me mettent dans l’embarras.
Entre les banquiers et les gouvernants se forme une belle association de malfaiteurs parasites.
Mon conseil : vérifiez vos comptes et si vous êtes comme moi de la classe des demi-pauvres ne vous laissez pas faire ; pas un rond pour ces salopards.
A vous entendre, dans ce même ordre d’idée, la plus part des accusés de Nürnberg étaient de fieffés psychopathes. Des malades mentaux non responsables de leurs actes donc échappant à toute punition.
Ce que l’on peut craindre avec ces félons est que notre peau leur serve de monnaie d’échange pour sauver la leur et pour tenter de prouver par-là leur soumission à leurs nouveaux maîtres. Mais il y a souvent chez les vainqueurs de fortes âmes que la victoire engendre ou stimule et qui n’ont que mépris pour ce genre de sous hommes. Ils s’en servent et les jettent. Certains survivront peut-être…