Cancer parmi les autres signes, il me faut aimer pour comprendre, ressentir pour agir. Attiré par les idées nouvelles et mobiles, je n'aime pas les rabat-joie. Je suis mon chemin de fortune et j'écoute le bourdonnement de la ruche.
« La maternelle ? C’est si joli ! un mot plein d’amour et de tendresse ! Comment peut-on vouloir le supprimer ? »
Bien d’accord avec vous Rosemar.
Mais à ce sujet, il est vrai, que des trois grands principes de la République, l’égalité, soit celui qui me semble être le plus difficile à comprendre, justement parce qu’il est au cœur de l’identité de la nation française (liberté, égalité, fraternité). En effet, on peut se demander si tous ces sujets récents portant sur l’égalité des sexes devant le mariage, l’emploi ou l’assurance... ne nous alerteraient pas plus encore sur un possible ébranlement de cette valeur égalitaire...
Il se pourrait malheureusement, que derrière cette égalité de façade, dont la maternelle n’est qu’un des derniers exemples, se cachent derrière cet arbre, une Réalité sociale plus profondément en crise allant vers plus d’inégalités et donc pour la France, moins républicaine voire démocratique...
Si Gégé a beaucoup de sous, pourquoi à défaut de payer moins d’impôts, ne ferait-t-il pas un don pour ouvrir, voire créer une maison (européenne) des artistes du spectacle ? Je le vois bien se reconvertir comme ambassadeur des artistes retraités. la Belgique serait alors peut-être un bon chat, non choix. À bon chat, bon rat !...
Oui, sans vouloir chercher ici à renier quoi que ce soit à votre commentaire, que je trouve évidemment instructif, je tiens à dire cependant :
qu’il faut se garder de voir dans cette peinture, qu’une liste..., que vous énumérez en partie, de références aux mythologies. Bien sûr, elles existent, HOPPER était un homme très cultivé, comme souvent beaucoup de grands peintres le sont - Mais, en vérité, en petits malicieux, ils savent jouer de ces différents apports historiques ou mythologiques, riches et parfois lointains, pour y glisser d’autres significations par des métaphores allégoriques, prenant appui, justement sur ces références qu’avec habileté vous avez pu identifier. Et donc, avec un éclairage complémentaire, ce que nous voyons dans ce tableau, c’est avant tout, une vision littérale, non mieux, picturale, que notre cerveau est un organe sexuel en puissance, qui s’ignore. Regardez ces rideaux rouges, ces lumières des profondeurs... Bref, toute l’œuvre mise en cadre regorge de sexe !